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VINGT MILLE LIEUES SOUS LES MERS-1954-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Twenty thousand leagues under the sea
Durée : 2h07
Date de sortie en France : 23/09/1955
Genre : AVENTURES
Réalisation : Richard FLEISCHER
Scénario : Earl FENTON
Inspiration : D'après le roman éponyme de Jules VERNE
Prise de vues : Franz PLANER
Musique : Paul J. SMITH
Chanson "A whale of a tale" de Richard SHERMAN et Robert SHERMAN
Effets spéciaux : John HENCH , Joshua MEADOR et Ub IWERKS
Distributeur : Walt Disney
Visa d'exp. : 16936
Résumé
Dans le Pacifique en 1868, un énorme monstre marin détruit les navires l'un après l'autre. Le courageux professeur Aronnax du Muséum d'histoire naturelle de Paris se lance à la poursuite de la "bête" qui n'est autre chose qu'un singulier submersible baptisé le Nautilius et dirigé par le Capitaine Nemo. Ce dernier, un peu fou, rêve d'un monde où la paix règnerait définitivement et pense arriver à cet état de fait, en lançant des expéditions contre les navires de guerre depuis son île secrète, Vulcania.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 14/20
Un classique des films d'aventures !
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
inconnu(e)
Enlevé et agréable à l’œil. À un moment, on se croirait dans un documentaire du commandant Cousteau. Dommage que les personnages soit si grossièrement dessinés. Esméralda, drôle et belle, crève l'écran.
La mise en images de cette lecture incontournable d'adolescent est attrayante, colorée. Un parfum d'intrigues et d'évasions nécessaires à nos jeunes années, parfois tristes et indécises. Un merveilleux, chassant nos ancestrales craintes de basculer dans le monde austère des adultes, dans des aventures à vivre sur papier ou sur pellicule, en attendant les joies et les peines de l'entreprise.Il y a tout pour être momentanément absent de son temps, dans un virtuel accompagné de monstres marins terrifiants métalliques ou non, de trésors accumulés, de combats titanesques et de morceaux de bravoure finaux.Le schéma n'est pas nouveau, un scientifique misanthrope revanchar, d que se soit dans l'espace ou sur les mers, détient un pouvoir destructeur inimaginable.Une détermination vengeresse, impitoyable envers ses contemporains, atténuée par les bons mots d'un professeur humaniste, émerveillé par un assemblage technologique inconnu, supérieur, mais hélas pointé vers le mal.L'intégralité respire une ambiance thématique distrayante, accompagnée de quelques messages écologiques, de mises en gardes sur nos dérives terrestres.Le beau Kirk ne lésine pas sur le torse nu, en mettant habilement en évidence la désinvolture et la joie de vivre d'un acteur en pleine bourre physique.A l'aise au harpon, au chant, en partenariat animal ou en rupture avec la fourchette, le comédien prend plaisir à alterner la gaudriole et le combat.L'univers de Jules Verne consiste à délivrer l'analyse de mystères toujours rationalisés, par un esprit humain se devant de conserver une analyse cartésienne. Ici la tradition est respectée, ce qui se divertit ou inquiète n'est qu'humain.
Bibliographie