On regarde LE GRAND MAGASIN et nous saisit la nostalgie des premiers Marx. On en est loin du moins, s'éloigne-t-on inexorablement de l'insolence et de la fraîcheur (de la verdeur) des premiers. Ici, Marion Martin, de passage, se permet même de traiter la petite bande de "crétins" et d'"idiots" ("silly" mot qui a une connotation de ridicule) à juste titre. Le film ronronne doucement (et pour la première fois, je crois, les Marx ne sont plus le sujet principal du film mais seulement les animateurs d'accompagnement au même titre que les chansons) pour n'exploser enfin ! que dans l'apothéose finale de la course-poursuite.