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WRONG COPS-2013-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Wrong cops
Durée : 1h25
Date de sortie en France : 19/03/2014
Themes
Handicapés moteurs
- cinéma américain -
Travestis(sement)
- cinéma américain -
Homosexualité masculine
- cinéma américain -
Suicide
- cinéma américain -
Quart monde
- cinéma américain -
Drogue - trafic
- cinéma américain -
Réalisation : Quentin DUPIEUX
Scénario : Quentin DUPIEUX
Prise de vues : Quentin DUPIEUX
Musique : Quentin DUPIEUX
Distributeur : UFO Distribution
Résumé
Un commissariat de police d'un vague quartier de la grande mégalopole de Los Angeles. Parmi les différents pandores de l'équipe, certains spécimens sont plutôt les indignes représentants du désordre, particulièrement indélicats et véreux, se servant de leur uniforme et de leur fonction pour satisfaire leurs penchants pour le lucre et la débauche systématiques. Ainsi, nous suivons les déambulations du gros et gras Duke qui passe son temps à vendre de la marijuana dissimulée dans des rats morts que lui procure un zélé Chinois et qui transporte dans le coffre de sa voiture de fonction un voisin moribond qu'il a grièvement blessé par maladresse et négligence, un presque cadavre dont il cherche à se débarrasser avec l'aide d'un de ses collègues, l'officier Sunshine, qui, lui devant de l'argent, se propose de l'enterrer discrètement dans son jardin. Ce dernier, en creusant, découvre une sacoche remplie de billets de banque qu'il se fera ravir par une fliquette de son service, amatrice de chirurgie esthétique, le faisant chanter pour son inattendue présence dans une revue gay en position fort équivoque. On n'oubliera pas dans l'inventaire, le libidineux De Luca avec sa récurrente obsession mammaire et le borgne Rough qui rêve de composer une partition de musique synthétique en passe de devenir un incommensurable succès public.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 11/20
L'étonnante mixture, entre surréaliste poésie déjantée et absurdité pataphysique qui avaient fait le bonheur et le nonsense des oeuvres précédentes, ne fonctionne plus dans cette laborieuse et pesante mouture qui accumule des séquences souvent dérisoires, dans une recherche systématique de l'effet, avec une évidente absence de fraîcheur, de spontanéité et d'imagination. De fastidieuses saynètes égrenées un peu n'importe comment, avec un humour forcé, voire introuvable dont nous ne retiendrons qu'un seul moment hilarant et subtil, celui de l'enterrement où nos pandores glosent doctement sur l'enfer et le paradis. C'est peu pour mériter une cordiale absolution.
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