Prenez un zeste d'une médiocre production de Brian de Palma, rajoutez des parcelles disparates d'atmosphère à la Boileau-Narcejac, saupoudrez de quelques considérations locales pour rester bridé, mélangez lourdement certains ingrédients alambiqués du polar yankee avec de banales chinoiseries sentimentales et vous aurez de quoi réjouir quelques inconditionnels des réalisations inconsistantes, tarabiscotées et finalement bien vaines dont ils sont les seuls à trouver, fièrement, un intérêt.