Aucun résultat pour cette recherche
AMOUR DE MARIN-1933-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Sailor's luck
Durée : 1h19
Réalisation : Raoul WALSH
D'après une histoire de Bert HANLON
Prise de vues : Arthur C. MILLER
Musique : Samuel KAYLIN
Distributeur : 20th Century Fox
Résumé
Port de San Pedro en Californie, plaque tournante de la marine militaire américaine. A peine à quai, le sémillant Jimmy Harrigan, matelot sur le puissant cuirassé U.S.S. Missouri, et ses deux inséparables camarades de bordée, le volubile Barnacle Benny et l'imposant Bilge, tentent, avec empressement, de joindre téléphoniquement leurs dulcinées respectives. Par un concours de circonstances imprévues, ils font connaissance avec la pétulante Sally Brent qui, faute de pouvoir payer le montant du loyer de sa pension, se propose pour un emploi dans une piscine locale, consistant à dispenser quelques studieux cours de natation, elle qui ne connaît même pas les premiers rudiments de la brasse. Malgré d'évidentes proximités affectives avec Jimmy, notre demoiselle plutôt rétive à tout ceux qui portent de près ou de loin l'uniforme marin, accepte un chaste hébergement chez ce dernier qui obtient tout de même deux discrets baisers et la promesse de prochaines retrouvailles. Alors que notre fringant militaire est obligé d'appareiller d'urgence pour quelques manoeuvres imprévues, Sally subit les exaspérantes assiduités du propriétaire, le libidineux Baron Portola, qui lui promet 1000 dollars contre une inscription à un harassant marathon de danse. Quelques quiproquos plus tard, avec à la clé de la jalousie et des disputes, concernant un voisin de palier pour lequel la demoiselle garde le rejeton, le couple pourra enfin se re(trouver) après une mémorable bataille rangée entre un énergique groupe de marins et les sbires de Portola lors de la fameuse soirée dansante.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 15/20
Après un début un peu fastidieux pour trouver son rythme, avec quelques gags plutôt besogneux et un humour poussif et pesant à la fois, le film prend lentement quelque ampleur, avec des scènes fort suaves, quelques situations espiègles, bien agencées dans le déroulement du scénario, et une interprétation quelquefois bienheureuse voire scintillante, en particulier celle de Victor Jory en odieuse canaille maniérée et l'expressif Sammy Cohen dont les incroyables facéties nous avaient déjà réjouis récemment dans deux autres films de Raoul Walsh.
Ajouter Votre
Critique/Commentaire