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MULBERRY STREET-2006-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Mulberry street
Durée : 1h24
Film Inédit en salle en France
Genre : HORREUR
Réalisation : Jim MICKLE
Prise de vues : Ryan SAMUL
Musique : Andreas KAPSALIS
Récompenses
- Tulipe Noire, Amsterdam Fantastic 2007 .....
- 3e place, Fant Asia Film Festival 2007 .....
- Spirit Award, Festival Toronto After Dark 2007
Résumé
Une solide canicule s'est installée sur la mégalopole new-yorkaise, indisposant l'ensemble de la population locale, déjà fortement excédée par une gênante surpopulation de rats, devenus de plus en plus agressifs et n'hésitant pas à mordre le quidam distrait ou fouineur. Au 51 Mulberry Street, dans le quartier de Manhattan, le concierge de l'immeuble, prénommé Ray, lors d'une urgente intervention pour une canalisation bouchée, se fait agresser par un de ces répugnants mammifères, apparemment purulents et mystérieusement contaminés, qui pullulent dans les sous-sols. Pour l'instant, aucun des autres locataires ne semblent vraiment incommodés par l'immonde engeance rongeuse, ni la dynamique Kay et son adolescent fiston, ni le sympathique Clutch, ancien boxeur, qui attend le retour imminent de sa fille Casey démobilisée de l'armée, encore moins ceux qui habitent les étages supérieurs. Par contre, alors que la journée s'avance dans son habituel train-train d'animation et d'activités diverses, certains bulletins radios et télévisés deviennent de plus en plus alarmistes, évoquant des agressions plus fréquentes, puis la fermeture préventive de quelques lignes de métro, et enfin une grave mutation de quelques humains ayant été mordus quelques heures auparavant et par conséquent la nécessité absolue de rester calfeutré à son domicile. En effet la plupart des muridés sont porteurs d'un étrange virus qu'ils inoculent par leurs profondes morsures.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 11/20
Hormis les dix dernières minutes au dénouement largement attendu, d'une passable nullité, l'ensemble peu se regarder discrètement, en grignotant quelques friandises de saison, conciliant avec les moult défauts de l'ensemble soumis à un budget de réalisation, semblerait-il minimaliste, voire dérisoire.
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