Un scénario et une réalisation plutôt fort banals qui prennent un lumineux intérêt par la seule présence de Christina Lindberg, une figure de proue de l'érotisme suédois qui refusa toujours de figurer dans des films pornographiques, même avec seulement des inserts, et dont le visage poupon et les pulpeux avantages égaillèrent quelques vagues et friponnes oeuvres dénudées d'origine allemandes et même japonaises.