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BATHORY-2008-
Nationalités :
Hongrie82 / République Tchèque169 / Slovaquie / États-Unis / Grande-Bretagne
Titre VO : Bathory
Durée : 2h20
Réalisation
:
Juraj JAKUBISKO
Scénario
:
Juraj JAKUBISKO
Dialogues
:
John PAUL CHAPPLE
Prise de vues
:
Jan DURIS
Musique
:
Simon BOSWELL
Distribution
Résumé
Nous sommes dans les années 1590 au château de Cachtice au pied du massif des petites Carpates. Alors que le maître des lieux, le puissant Ferenc Nadasdy est parti guerroyer contre les sanguinaires hordes turques, son épouse Erzsebeth Bathory s'entiche d'un jeune peintre milanais, Michelangelo Merisi da Caravaggio à qui elle demande d'immortaliser sa jeunesse et sa beauté. Souffrant d'une étrange maladie sanguine la rendant perpétuellement pâlotte et diaphane, elle est sous le charme et la médication d'une étrange sorcière surnommée Darvulia qu'elle finira par désavouer. Alors que les autorités cardinalices envoient deux loufoques émissaires sur les lieux pour enquêter sur les inquiétants bruits qui se propagent aux alentours, concernant des dizaines de meurtres de jeunes filles dans la région, un compagnon d'armes de Ferenc, le violent et arrogant Juraj Thurzo tente de mettre la main sur une partie du territoire appartenant à la comtesse, suite à une vague promesse de son époux à qui il aurait sauvé la vie lors des incessants combats contre les basanés envahisseurs. Alors que le châtelain succombe à ses blessures, lors du terrible siège de Budda, d'insistantes et récurrentes rumeurs affirment de plus en plus ouvertement que la comtesse Bathory prend des bains de sang frais pour garder une jeunesse éternelle.
Critique
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 13/20
Superproduction en grande partie slave, d'une excessive durée, dont nous retiendrons essentiellement l'indéniable qualité des quelques scènes de combats ou de groupes, au détriment des séquences plus intimistes. Malgré plusieurs saynètes humoristes autour des invraisemblables et cocasses inventions des deux moines enquêteurs et bien des plans picturalement fort bienvenus, on sort malgré tout laminé de cette surabondance scénaristique pour laquelle on s'épuise durablement.