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THE WICKER MAN-2006-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : The wicker man
Durée : 1h40
Date de sortie en France : 10/01/2007
Genre : DRAME
Themes
Iles
- cinéma américain -
Milieu scolaire
- cinéma américain -
Rêves et cauchemars
- cinéma américain -
Jumeaux
- cinéma américain -
Réalisation : Neil LA BUTE
Scénario : Neil LA BUTE
Inspiration :
  • Ce film est un Remake du film THE WICKER MAN -1973- de Robin HARDY
  • Prise de vues : Paul SAROSSY
    Musique : Angelo BADALAMENTI
    Distributeur : Les Acacias
    Visa d'exp. : 114948
    Résumé
    Traumatisé pour ne pas avoir pu sauver une petite fille dans une voiture en flammes, le sergent Edward Malus, fringant policier motard, est depuis en arrêt de travail prolongé. C'est à ce moment qu'il reçoit une inquiétante missive d'un ancien amour lui demandant son aide en ce qui concernant la mystérieuse disparition de sa petite fille Rowan. Désoeuvré, perturbé, notre pandore décide de se rendre auprès de la jeune femme qui vit dans une communauté essentiellement matriarcale, sur une discrète île privée (Summerisle). C'est donc en bateau, puis en hydravion qu'il parvient dans l'insulaire région, plutôt fort mal accueilli par des autochtones vivant en vase clos, selon d'ancestraux rites païens, dans une constante sororité affirmée. Menant une enquête difficile, décousue, Edward Malus se heurte sans cesse à l'indifférence, la négation ou l'agressivité des gens qu'il côtoie, niant en bloc la disparition, voire l'existence de la petite fille en question. Peu à peu une étrange et souterraine agitation à peine feutrée se dessine en vue de la préparation d'un subtil et brûlant rituel de fertilité.
    Critique
    Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
    Note Cinéfiches : 6/20
    Dieu que c'est mauvais, comparé à la sublime version de Robin Hardy, réalisé durant l'année 1973 ! De cette magistrale réalisation sur un même sujet, il ne reste ici que la trame, grossière et lourde, sans aucune subtilité ni finesse. Nicolas Cage, quand il n'est pas assailli par ses rêves récurrents, n'arrête pas de courir, en long, en large et en travers, faisant pâle figure face à la performance toute en inquiétude et en nuance d'un fabuleux Christopher Lee, dans la mouture originale. Et que dire de la triste et morne cérémonie festive, à mille lieues des envolées panthéistes, orgiaques et paganistes qui transfigurent et balayent de son souffle incandescent, le premier opus.
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    Bibliographie