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CHACUN SON CINÉMA-2007-
Court-Métrage
Nationalité : France
Sous-Titre VF : Ou ce petit coup au coeur quand la lumière s'éteint et que le film commence
Durée : 2h02
Date de sortie en France : 31/10/2007
Themes
Enfance
- cinéma français -
Cécité
- cinéma français -
Milieu rural
- cinéma français -
Suicide
- cinéma français -
Milieu du cinéma
- cinéma français -
Milieu ouvrier
- cinéma français -
Nota
- Certains court métrages (dont ceux de Wim Wenders et de Michael Cimino) sont disponibles en versions longues sur l'édition DVD de l'anthologie
- Le court métrage intitulé "World Cinéma" et réalisé par les frères Coen ne figure pas sur la version projetée en salles : l'histoire d'un cow-boy qui découvre le film de Nuri Bilge Ceylan : "Les climats"
- Le film se termine sur un épilogue avec un extrait du film de René Clair : "Le silence est d'or"
- Distribution : Le court métrage de David Lynch : "Absurda" ne figurait pas à la séance du festival de Cannes (copie non arrivée dans les temps).
Distributeur : Pyramide
Visa d'exp. : 115909
Résumé
Oeuvre collective, ce film à sketches a été réalisé à l'occasion de la 60e édition du Festival de Cannes par trente-trois cinéastes issus de vingt-cinq pays.
Chacun a réalisé un court métrage de trois minutes autour du thème de la salle de cinéma.
Source : Matériel de presse
Critique
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
signature non-référencée
"De ces 33 courts-métrages, on peut retenir la décence et la féminité des femmes originaires d’Afrique du Nord et du Moyen Orient.
Les femmes dans "Where is my Romeo ?" d’Abbas Kiarostami sont très belles et dans "Cinéma d’été" Raymond Depardon nous montre la modernité d’une certaine jeunesse d’Alexandrie.
J’interprète le film d’Assayas comme une sage mise en garde pour ces femmes occidentalisées : Qu’elles ne s’abandonnent jamais dans les lieux publics !
La majorité des spectateurs qui se sont exprimés dans les forums d’Allo Ciné semblent apprécier le segment le plus répugnant de cette sélection celui de Lars von Trier.
Ce dernier nous vient du Danemark tout comme Bille August.
"The Last dating show" nous montre une jeune et jolie Musulmane qui fascine tous les hommes danois qui ont la chance de s’en approcher. Dans ce film vous ne verrez pas de femme danoise car Bille August sait décrire son pays.
Le Danemark est un immense laboratoire d’ingénierie sociale, par exemple c’est le premier pays dont le Parlement a voté (à près de 85%) en 1969 pour la libération de la pornographie. C’est devenu la première nation androgyne au monde. Toutes les femmes y ressemblent à des hommes et s’habillent et se comportent comme des hommes, on peut comprendre en partie le désespoir de films comme celui de von Trier.
Amos Gitaï nous offre un segment, similaire à celui qu’il avait présenté dans "11'09'01 september". Le premier tiers est à mourir d’ennui, et la dernière image nous montre le cadavre d’une Israélienne blonde.
C’est encore le thème de la fin de la femme occidentale (caucasienne). Elle va faire place à la femme du Moyen-Orient ou d’Afrique du Nord.
D’ailleurs, cette femme exotique semble avoir dépassé sa contrepartie masculine si on se réfère à l’égocentrique Youssef Chahine ou au perturbé Elia Suleiman.
Deux fois sur le site et dans le forum d’Allo Ciné j’ai noté une incompréhension quant à la présence du court-métrage d’Oliveira. Pourtant il nous dépeint très bien la similarité qui existe entre le communisme et le catholicisme, leurs différences ne sont justement que du cinéma. (Recherchez avec Google les "Réductions" du XVIIéme siècle au Paraguay et vous découvrirez que ce sont les Jésuites qui ont inventé le communisme.)
Je trouve le Polanski tout à fait nul, contrairement à l’avis général, le Lelouch est lamentable, le pauvre homme s’est emprisonné dans l’idée qu’il se fait de lui-même, il est irrécupérable.
Où donc veut nous emmener David Cronenberg ? Cela ressemble tellement à l’état actuel de l’Amérique du Nord.
Savez-vous si Ken Loach a acheté des parts dans un club de football ?"
Je pense que je suis le seul à avoir compris ce film. En toute modestie. Simplice.
signature non-référencée
"War in Peace" ("Guerre en temps de paix") servira de pièce à conviction pour appuyer de probables accusations de torture à l’encontre de Wim Wenders. Seul un robot est incapable d’arracher un sourire à un enfant d’Afrique Centrale plus ou moins bien nourri. Des groupes industriels allemands sont lié aux atrocités de la guerre du Congo et Wenders se permet de dénaturer des enfants pour nous faire croire qu’il est plein de compassion. Simplice.
Bibliographie