A priori, on serait évidemment tenté de penser que cent-trente-sept minutes de film costumé, plus est du Balzac d'époque, pourrait s'avérer mortellement ennuyeux, voire d'un introuvable intérêt narratif ou cinématographique. Nenni, les amis, c'est plutôt lumineusement brillant, d'une désarmante finesse introspective et d'un subtil jeu d'acteurs souvent impeccable. Une des bonnes surprises de l'année 2007.