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C'EST LA VIE...-1926-
Nationalité : Grande-Bretagne
Titre VO : Downhill
Durée : 1h22
Themes
Taxis
- cinéma britannique -
Employé(e)s de maison
- cinéma britannique -
Milieu scolaire
- cinéma britannique -
Héritages et testaments
- cinéma britannique -
Métro
- cinéma britannique -
Rêves et cauchemars
- cinéma britannique -
Réalisation : Alfred HITCHCOCK
Scénario : Eliot STANNARD
Inspiration : D'après une pièce de théâtre de Constance COLLIER et Ivor NOVELLO (sous le pseudo commun "David LESTRANGE")
Prise de vues : Claude MAC DONNELL
Nota
Film en trois parties : - "La jeunesse" / "Les faux semblants" / "Les illusions perdues".
Résumé
Roddy Berwick et Tim Wakeley sont deux inséparables amis qui fréquentent le même collège huppé d'une banlieue de la capitale britannique. Alors que le premier est issu d'une famille fort aisée de la bourgeoisie londonienne, le second, d'un milieu modeste a besoin impérativement de l'octroi d'une bourse afin de poursuivre des études universitaires. C'est après avoir passé une après-midi avec la peu farouche Mabel qui tient un petit commerce alimentaire et officie comme serveuse au réfectoire de l'établissement scolaire, que les ennuis vont débuter. Ayant été bien trop entreprenant avec la demoiselle, Tim accepte de laisser accuser son camarade pour ne pas perdre l'allocation financière attendue et Roddy, de son côté, refuse de dénoncer ce dernier, assumant une faute non commise qui va le faire immanquablement renvoyer de l'école. Bien sûr, Sir Thomas Berwick, le paternel apprenant les raisons de son retour anticipé au domicile familial, outré et fort mécontent, le chasse de la maison. Le jeune homme parvient à décrocher un vague emploi de figurant / serveur dans un cabaret-théâtre, finissant par s'amouracher de l'actrice locale, une certaine Julia Fotheringale, d'une débordante vénalité qui lui propose le mariage dès qu'elle apprend que le garçon vient d'hériter de 30000 livres d'une lontaine marraine décédée. Au bout de quelques semaines, Rodick ruiné, découvrant que la belle continue de fréquenter son ancien amant, décide de tout quitter, en direction des factices lumières de Paris où il végète comme gigolo dans de minables soirées dansantes. Mais la lente déchéance n'est pas encore arrivée à son terme : après un séjour dans les bas-fonds portuaires de Marseille, malade, délirant, sans le sou, il est amené sur un bateau en partance pour l'Angleterre, par deux marins espérant par cette aide, un quelconque gain à venir.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 15/20
Une fort agréable surprise qui fut en partie reniée par le réalisateur en bisbille avec son producteur Michael Balcon et souvent en désaccord avec son acteur principal, qui pour notre part mérite une urgente redécouverte rien que pour son approche hitchcockien du faux coupable, une thématique souvent présente dans ses films.
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Bibliographie