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JE RENTRE A LA MAISON-2001-
Nationalité : France
Durée : 1h30
Date de sortie en France : 12/09/2001
Themes
Milieu du théâtre
- cinéma français -
Réalisation : Manoel DE OLIVEIRA
Prise de vues : Sabine LANCELIN
Production Paulo BRANCO
Montage : Valérie LOISELEUX
Distributeur : Gémini Films
Visa d'exp. : 99956
Résumé
A la fin d'une représentation de théâtre, le célèbre comédien Gilbert Valence apprend par son agent et ami Georges, le décès accidentel de sa femme, de sa fille et de son beau-fils. Mais la vie continue, oscillant entre solitude tranquillement assumée, complicité avec son petit-fils, flâneries parisiennes, répétitions.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 13/20
Oeuvre intéressante sur le thème de la vieillesse, de la mort et de la fatigue de vivre, qui n'est toutefois pas le chef-d'oeuvre que certains "pertinents" intellectuels de gauche (forcément) semblent avoir furieusement décelé, face à notre aveuglement.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
Note : 15/20
Un défaut qui peut décourager tout de suite, mais c'est souvent la faille de Manoel de Oliveira : long, notamment les tirades théâtrales (qu'on peut abréger en dvd), baîllez donc un peu, mais ne décrochez pas car le texte déclamé, les ombres en coulisse, amènent une descente en flèche. A la réflexion, un ensemble assez grandiose que ce paradoxe entre le jeu de comédien sur la vie et la mort et un TRIPLE deuil "pour de vrai" d'un seul coup d'un seul... De quoi faire une apoplexie... Donc, après une demi-heure, c'est beaucoup mieux avec Piccoli s'efforçant de s'habituer, et tout cela sans un flash-back sur les disparus... Beaucoup aimé les petites scènes, grand-père et petit-fils téléguidant leurs bolides, solitaires à place préférée au café parisien, les chaussures neuves pour rester debout, avec l'insistance de la caméra sur le pied droit et sa chaussure flambant neuf puis, plus tard, ces vieilles pompes noires d'avant.. Autre aspect instructif de ce film : les coulisses du grand ou du petit écran, tous ces rôles ingrats à apprendre dare-dare, là aussi on est donc "aux pièces" (exigence du metteur en scène joué par Malkovitch, intervenant mécaniquement, au mot près) un rappel que le métier d'acteur comporte les mêmes écueils que le business !
Bibliographie