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L'ETOILE DU NORD-1943-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : The north star
Durée : 1h46
Date de sortie en France : 21/03/1947
Genre : DRAME
Themes
Milieu rural
- cinéma américain -
Deuxième Guerre Mondiale
- cinéma américain -
Chiens
- cinéma américain -
Milieu médical
- cinéma américain -
Réalisation : Lewis MILESTONE
Scénario : Lillian HELLMAN
Prise de vues : James Wong HOWE
Producteur associé : William Cameron MENZIES
Produit par Samuel GOLDWYN
Distributeur : RKO
Visa d'exp. : 4174
Résumé
Dans un petit village ukrainien, alors que l'ensemble de la population locale fête allègrement l'arrivée de l'été, cinq jeunes camarades de la joyeuse communauté rurale se préparent à un long trajet pédestre en direction de Kiev où ils espèrent passer ensemble un agréable séjour collectif et festif. Une ambiance déjà estivale, un peu ternie par une inquiétante communication radiodiffusée qui annonce que l'Allemagne nazie venait d'envahir la Pologne. Nous sommes le 20 juin 1941 et deux jours plus tard, les forces teutonnes sont déjà aux portes de la région, fonçant têtes baissées et svastika en bannière, vers le petit village qu'ils comptent investir et transformer l'hôpital du coin en un conséquent établissement sanitaire destiné à soigner les soldats blessés sur le front de l'est. Alors qu'une partie de la population s'est retirée en résistance dans les sous-bois, dans l'attente d'une prochaine livraison d'armes, le reste des villageois a pour stricte consigne de détruire maisons et récoltes à l'approche des divisions ennemies. Ce qui reste finalement de la riante petite agglomération rurale sera mise sous l'autorité d'un odieux médecin allemand qui n'hésite pas à prélever le sang des enfants rescapés de l'attaque barbare menée par ses troupes, pour soigner la soldatesque. Mais la résistance soviétique ne va pas tarder à réagir.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 8/20
A l'est rien de nouveau. De la médiocrité au kilomètre ou plutôt à la verste, des acteurs qui surjouent comme le pire des néophytes, des trucages aériens d'une affligeante pauvreté visuelle, un accompagnement musicale surnuméraire et cacophonique, le tout dans une grandiloquence de matamore à l'agonie qui laisse le spectateur pantois et les mânes du pauvre Staline en capilotade.
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Bibliographie