A l'est rien de nouveau. De la médiocrité au kilomètre ou plutôt à la verste, des acteurs qui surjouent comme le pire des néophytes, des trucages aériens d'une affligeante pauvreté visuelle, un accompagnement musicale surnuméraire et cacophonique, le tout dans une grandiloquence de matamore à l'agonie qui laisse le spectateur pantois et les mânes du pauvre Staline en capilotade.