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ROBIN DES MERS-1997-
Nationalité : France
Durée : 1h20
Date de sortie en France : 01/04/1998
Themes
Chômage
- cinéma français -
Pêche et pêcheurs
- cinéma français -
Suicide
- cinéma français -
Enfance
- cinéma français -
Réalisation : Jean-Pierre MOCKY
Assistance à la Réalisation : Marc LIGEZ et Christophe BIER
Prise de vues : Edmond RICHARD
Musique : Emil WALDTEUFEL
Distributeur : Lonely Pictures
Visa d'exp. : 91868
Résumé
Alors que les prochaines élections municipales se précisent dans la petite cité de La Roche-sur-Mer, Emile Dupas, anonyme employé d'une usine d'aliments pour chiens, qui doit prendre sa retraite anticipée, remplacé par une sophystiquée machine-broyeuse bien plus performante, décide, désespéré et perdu, de se foutre à l'eau. Il est sauvé de justesse par son fils et un gamin d'une douzaine d'années, prénommé Mathieu qui prend la résolution dès lors, de se battre par tous les moyens contre le chômage et ses ravages. Première cible : les notables de la région, tels Hubert Baudry et Jacques Penalty qui ne songent qu'à se faire élire. Aussi les urnes et les bulletins sont dérobés et plus tard les coffres individuels de la banque, contenant bien sûr de l'argent sale et moult documents compromettants, ouverts grâce aux empreintes des serrures recueillies discrètement par le curé du village qui lui aussi fait désormais partie de la subversive bande de "Robin des Mers". Avec les fonds ainsi recueillis, il est prévu de verser des indemnités aux nombreux demandeurs d'emploi de la cité et de les engager dans une organisation parallèle, la SPEC (Société Privée d'Entraide aux Chômeurs) au grand dam de l'administration légale qui rapidement va ameuter police, gendarmerie et armée pour contrecarrer ces "dangereux" perturbateurs.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 10/20
Même si le dessein du réalisateur ne peut que provoquer une adhésion unanimiste et complice, on regrette l'absence complète de crédibilité de l'ensemble du scénario qui expose de positifs et bienvenus faits d'incivilité, tout en les désamorçant immédiatement par une infantilisation jusqu'à l'écoeurement des comportements et des propos des principaux personnages. "Vincent Cabral", réveille-toi !
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