Tout sonne désagréablement faux et transpire l'artificiel, que ce soit la lourde relation bipolaire entre le théâtreux et l'adolescente, la famille de cette dernière, caricaturale jusqu'à l'ennui, les seconds rôles mièvres ou lénifiants, sans oublier un scénario d'une affligeante stupidité et d'une véracité factice au possible.