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Durée : 2h00
Date de sortie en France : 05/10/1960
Distributeur : Pathé
Visa d'exp. : 23468
Résumé
Au début du 17eme siècle, sous le règne de Louis XIII, les moult aventures rocambolesques de François De Capestan, surnommé "Le Capitan". Il est amoureux d'une belle inconnue qui n'est autre que la fille du duc d'Angoulême, et devra s'opposer aux sbires du ministre Concini, infâme conspirateur.
Critiques et Commentaires
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
Un nouveau film de cape et d'épée, plutôt ordinaire dans sa réalisation et son propos, qui nous montre l'adresse et le talent de Jean Marais dans les rôles à costumes qu'il affectionne énormément, tels "Le bossu", "Le comte de Monte-Cristo" ou encore, "Le capitaine Fracasse", au point de nous en lasser, parfois.
Critiques - Commentaires Public
5778
inconnu(e)
Il y a des petits problèmes avec l'adaptation du roman, des petits problèmes avec le montage, la scène de la soi-disant destruction d'un pont-levis qui tombe à plat, dommage. Dommage aussi les problèmes de raccords qui n'en sont pas ! Et surtout je ne comprend pas que l'on ai pu éclairer d'une façon si invraisemblable toutes les scènes d'intérieur : la crise de l'énergie n'existait pas à l'époque, et vas-y donc que je t'éclaires ça dans tous les sens avec des spots de 1000 watts ! Dommage, car le charme du couple Jean Marais et Bourvil opère encore avec son côté bon enfant d'une autre époque. J'en retiens qu'André Hunebelle voit plutôt cette réalisation comme une série de chromos ou tableaux assez statiques, et encore une fois avec des problèmes de raccords... Même la musique par moments ne forme pas un tout avec l'image.
5255
inconnu(e)
Film de cape et d'épée plein de panache. Inutile de mentionner les morceaux de bravoure, maintes fois décrits (Jean Marais escaladant la forteresse à mains nues). Saluons plutôt les prestations réussies d'Arnoldo Foa et de Jacqueline Porel dans le rôle des Concini, méchants efficaces, de Guy Delorme, excellent acteur et cascadeur, avec son beau faciès de traître, d'Annie Anderson, cette actrice indolente et monocorde aux beaux yeux violets dégageant une tristesse et une émotion contenue qui la conduira au suicide...Le moins convaincant est la séquence chantée par Bourvil et Pierrette Bruno, bien sympathiques, mais on n'est pas chez Francis Lopez. Ne pas mélanger les genres s'il vous plaît.
969
signature non-référencée
Toutes les qualités sont réunies pour faire de ce film l'un des meilleurs cape et d'épée français. Jean Marais et Bourvil, excellents dans les rôles respectifs de grand seigneur et de valet. BRICE.