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LE BEAU JOUEUR-1931-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Smart money
Durée : 1h30
Date de sortie en France : 05/02/1932
Réalisation : Alfred E. GREEN
D'après une histoire de Lucien HUBBARD et Joseph JACKSON
Prise de vues : Robert KURRLE
Musique : Leo F. FORBSTEIN
Distributeur : Warner Bros et Vitaphone
Résumé
Décontracté et jovial barbier d'origine grecque, Nick Venizélos est un efficace et fort assidu parieur et joueur en tous genres, investi d'une chance incroyable qui le rend gagnant presque à chaque coup. Son activité professionnelle située dans la petite cité d'Irontown, lui permet de dissimuler au fisc et à la justice quelques activités souterraines sous forme de salles de jeux clandestines. Ses amis proches vont finalement se cotiser pour une somme de 10.000 dollars afin de permettre à leur champion d'affronter à New York quelques grandes pointures aux cartes dont le fameux Hickory Short, pour des paris dont les enjeux sont énormes. Ce qu'ignore encore notre brave barbier, c'est que ses adversaires qu'il retrouve dans une discrète chambre d'hôtel, sont en fait des escrocs et des tricheurs qui vont le ratiboiser en quelques parties truquées. Bien décidé à se venger des vils arnaqueurs et de la jeune femme préposée à la boutique de cigares de l'établissement à laquelle il avait prêté de l'argent, Nick parvient, avec l'aide de plusieurs hommes d'affaires de sa nationalité d'origine, de reconstituer une cagnotte et châtier les infâmes mécréants. Pendant ce temps, le rusé district attorney Black qui veut absolument mettre fin aux agissements de ce dernier, se prépare à frapper un grand coup en lui envoyant dans les pattes, une ravissante créature blonde, immanquablement sa récurrente faiblesse.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 14/20
Petite comédie policière jamais ennuyeuse, plutôt gentillette qui réunit la seule fois sur un écran, Edgar G. Robinson et James Cagney (ce dernier encore un peu en retrait) avec la lumineuse présence d'une actrice peu connue, Evalyn Knapp et une courte apparition de Boris Karloff, toujours inquiétant et lugubre à souhait.
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