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L'INTRUSE-1935-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Dangerous
Durée : 1h18
Genre : DRAME
Themes
Milieu du théâtre
- cinéma américain -
Journalisme et presse
- cinéma américain -
Alcoolisme et autres beuveries
- cinéma américain -
Milieu médical
- cinéma américain -
Architectes
- cinéma américain -
Réalisation : Alfred E. GREEN
Scénario : Laird DOYLE
Prise de vues : Ernest HALLER
Musique : Bernhard KAUN
Musique : Leo FORBSTEIN
Distributeur : Warner Bros.
Résumé
Prometteur et novateur jeune architecte, le dénommé Don Bellows n'attend plus qu'un conséquent prêt bancaire pour se lancer dans la réalisation de ses étonnants projets de construction d'immeubles hauts de gamme, soutenu par son agréable promise Gail Armitage et son substantiel carnet d'adresses, aux maints clients potentiels. C'est un soir, par un pur hasard nocturne, qu'il rencontre une célèbre actrice de théâtre, Joyce Heath, aujourd'hui dans une profonde déchéance alcoolique, qui l'avait profondément marqué par ses éblouissantes interprétations passées. C'est dans un bénévole mouvement de pitié et de solidarité dénué d'une quelconque arrière-pensée, qu'il dépose cette véritable loque humaine, dans sa vaste maison de campagne du Connnecticut, aux bons soins de son ancienne gouvernante, Mrs Williams. Le lendemain, la jeune femme, un peu calmée de son éthylisme chronique, lui narre sa lente et longue descente aux enfers, poursuivie selon elle par une constance infortune, apportant le malheur à tout son entourage personnel et professionnel. Peu à peu le brave Bellows se sent bien des attirances pour la malheureuse créature et une sourde proximité se met insidieusement en place entre les deux protagonistes.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 16/20
Septième et dernière collaboration entre ce prolifique metteur en scène qui a fait ses gammes et ses armes dans de nombreuses réalisations à l'époque du cinéma muet et la ravissante Bette Davis qui mérite amplement l'Oscar de la Meilleure Interprétation Féminine octroyé pour son étonnante composition d'un personnage complexe, oscillant sans cesse entre fulgurante innocence et percutante malignité. Dommage que le dénouement se place lourdement dans une conventionnelle et factice morale traditionnelle et bienséante qu'exigeait l'application du nauséeux Code Hays.
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Bibliographie