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VAUDEVILLE-1986-
Nationalité : France
Durée : 1h30
Date de sortie en France : 19/03/1986
Genre : COMÉDIE
Themes
Hôtels
- cinéma français -
Noël et Réveillon
- cinéma français -
Suicide
- cinéma français -
Milieu médical
- cinéma français -
Métro
- cinéma français -
Réalisation : Jean MARBOEUF
Scénario : Jean MARBOEUF
Prise de vues : Gérard SIMON
Musique : Sylvain KASSAP
Récompenses
- Prix Georges de Beauregard 1985
- Grand Prix des 13e Rencontres d'Epinay
- Primé par la Fondation Apple
Distributeur : Actium Films Communication
Visa d'exp. : 59517
Résumé
Cela fait vingt ans que Madeleine et Gaston sont mariés. Depuis quelques temps, chacun se tricote des apartés érotico-affectifs, sous prétexte, pour l'un de concert hebdomadaire et d'impromptues réunions syndicales pour l'autre. Gaston, de plus en plus souvent assailli par de nocturnes angoisses existentielles, (déjà quarante ans, un début de calvitie, une mauvaise digestion et des charentaises) envie fort son ami Victor qui sans cesse accumule les conquêtes. Ce qui n'empêche pas une réelle proximité complice et professionnelle (ils travaillent tous deux dans un grand magasin parisien). C'est d'ailleurs pour une prestation de Père-Noël à son boulot, que Gaston parvient à faire engager son demi-frère Pierrot (excellent Jean-Marc Thibault) un être falot et lourd, porté sur la bouteille, fortement jaloux (à raison) de son épouse Yvette. Alors que Madeleine décide de quitter Gaston, Yvette qui venait tout juste de sortir d'une érotique cabriole avec Victor, se fait occire par un autobus de passage, dans sa folle précipitation pour rejoindre ses pénates. Il va donc falloir trouver rapidement une solution à ces soudaines indépendances / solitudes.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 15/20
Malgré un in(compréhensible) et stupide insuccès populaire, Jean Marboeuf, qui met le doigt et le phallus là où çà fait mal, nous propose une oeuvre d'une patente originalité, teintée d'un féminisme ravageur, dans laquelle le mâle accumule les lâchetés et les veuleries, les médiocrités et les bassesses, dans un permanent ballet médiocre et pitoyable. Dommage que la dernière demi-heure perde un peu de cette étonnante virulence sarcastique fort bienvenue qui parsemait l'ensemble du film.
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