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LA MAISON DE L'EXORCISME-1972-
Nationalité : Italie
Titre VO : La casa dell'esorcismo
Durée : 1h37
Date de sortie en France : 28/09/1977
Genre : FANTASTIQUE
Assistance à la Réalisation : Lamberto BAVA
Prise de vues : Cecilio PANIAGUA
Musique : Carlo SAVINA
Production Alfredo LEONE
Nota
- Le film a été remonté par son producteur pour sa sortie en 1975
- Cette version fut désavouée par Mario Bava
- Version non désavouée par Mario Bava : "Lisa e il diavolo" alias "Il diavolo e i morti". VF : "Lisa et le diable".
Distributeur : CFDC
Visa d'exp. : 46886
Résumé
Lisa, jeune touriste, contemple une fresque représentant le Diable. Plus tard, dans la boutique d'un antiquaire, elle voit un homme lui ressemblant. Peu après, elle souffre en pleine rue de convulsions et s'écroule. Il semblerait qu'elle soit possédée. Un prêtre entreprend alors son exorcisme. Lisa serait, d'ailleurs, le sosie d'une certaine Elena. Elle s'en rend compte, pour son malheur, lors d'une macabre soirée dans la demeure d'une comtesse aveugle, parente d'un homme aperçu dans le magasin au début.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 13/20
Intéressant à plus d'un titre !
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
signature non-référencée
Le résumé correspond effectivement au film sorti sous le titre "La Maison de l'exorcisme", un nanar ridicule voulu par le réalisateur Alfredo Leone qui conserve un peu moins d'une heure du métrage original de Bava, éclatée en plusieurs scènes que relie un fil conducteur qui copie de façon grotesque "L'Exorciste" de Friedkin (régurgitations verdâtres et blasphèmes compris). "Lisa et le diable", quant à lui, est un tout autre film. Dans le montage voulu par Mario Bava, nulle possession, nulle visée mercantile, mais un film magnifique et particulièrement marquant, tant par sa thématique qui brouille les frontières entre les morts et les vivants, les songes et la réalité, que par sa mise en images. Il s'agit sûrement du film le plus personnel de son réalisateur et il est heureux que la reconnaissance posthume de Bava ait permis à ce montage d'être enfin visible. PC.
Bibliographie