Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 23 films notés

Page 12 sur 332 (16566 critiques au total)

  • LES MISÉRABLES (1981)
    Trente-troisième adaptation du célèbre roman-fleuve de Victor Hugo narrant les principaux épisodes de cette saga historico-mélodramatique avec plus ou moins de bonheur et d'intensité émotionnelle. On retrouve donc avec un certain plaisir tempéré par la cruelle déception d'une réalisation médiocre, les mythiques personnages de Jean Valjean, Cosette, l'inspecteur Javert, Fantine, Gavroche. Finalement, une superproduction pas vraiment super.
  • FLAMENCO (1958)
    Siegel devait certainement être dans une passe financière difficile pour manquer aussi cruellement d'inspiration et commettre un film alimentaire aussi navrant.
  • LE GRAND DEPART (1971)
    Une version pour intellectuels fatigués de Cain, du paradis, de sa fuite.
  • L'ENVERS DU DECOR (1982)
    Note : 11/20
    Pas vraiment réussi malgré la pirouette finale.
  • CARMEN 63 (1962)
    Pas de quoi se pâmer d'aise, même avec la présence de la magnétique Giovanna Ralli.
  • AMOUR SANS ILLUSION (1955)
    Note : 7/20
    Les dialogues fades vont de pair avec une situation traitée avec superficialité, sans évidence aucune. Il n'y a pas que le mari qui finalement s'ennuie terriblement.
  • TRUHANES (1983)
    Note : 10/20
    Film inédit qui ne trouble en rien le spectateur exigeant.
  • LA FIANCÉE CONTRE REMBOURSEMENT (1941)
    Note : 9/20
    On cherche vainement l'humour dans ce film pesant, dénué de toute originalité séduisante. James Cagney imitant le coyote, Bette Davis tombant dans les cactus, banalité des scènes, médiocrité des séquences, une rature incompréhensible.
  • PARIS AVENUE (1980)
    Note : 7/20
    Insignifiant au possible.
  • LE CRIME C'EST NOTRE BUSINESS (1968)
    Moyen dans son ensemble, honnête dans sa réalisation, un film sympathique et mineur.
  • LES FOURBERIES DE SCAPIN (1980)
    Note : 12/20
    Le film de Coggio (narcissisme oblige, le metteur en scène s'octroie le rôle de Scapin) est une adaptation littérale du texte original de Jean-Baptiste Coquelin ce qui fait paradoxalement sa force et sa faiblesse. Ne boudons pas notre plaisir même si les acteurs ne font pas partie de l'élite de la Comédie Française et si la mise en scène est nettement inferieure à la densité de la pièce.
  • COAST TO COAST (1980)
    Note : 16/20
    Encore un inédit en France (janvier 87) qui ne se justifie absolument pas. Alerte au possible, de l'action a cent a l'heure. En un mot, formidable !
  • ALLONS Z'ENFANTS (1980)
    Note : 15/20
    Antimilitariste et féroce à souhait.
  • PRIVE DE FEMME (1982)
    Note : 7/20
    Cela se veut humoristique alors que la drôlerie est a cent lieues de cette pochade incompréhensible.
  • LA MAISON TRAGIQUE (1979)
    Un des rares films marquant de cette région orientale de l'Asie appartenant anciennement au Pakistan. Une découverte étonnante et tardive.
  • ABANDONS (1985)
    Note : 11/20
    Une œuvre honnête qui laisse un peu sur sa faim, mais qui peut révéler un futur metteur en scène solide et créateur.
  • L'ARAIGNEE D'EAU (1969)
    Note : 12/20
    Le film est quelquefois ennuyeux et le sujet aurait mérité d'être plutôt traité en moyen métrage.
  • LE JOUR LE PLUS LONG (1962)
    Pour cette gigantesque fresque historique, les grands noms du cinéma mondial ont été mobilisés. Cette reconstitution a bénéficié d'énormes moyens et l'on se sent réellement au cœur de la bataille. Si la mise en scène est un peu lourde et qu'il n'est pas facile de croire en des officiers ayant des visages trop connus, il convient néanmoins de situer la réalisation dans les grands classiques du genre.
  • LES AMOURS ENCHANTEES (1962)
    Tourné en "Télérama" (!?). Malgré cette technique, le film reste plat et ne restitue pas le faste qu'on en attendait. Quant à l'histoire, elle est mièvre en dépit de l'évocation assez plaisante de la petite cité bavaroise ou vécurent les conteurs.
  • POLICE PUISSANCE 7 (1973)
    Un polar ambivalent dans son message répressif ou la fin justifie amplement les moyens et qui, à part certaines séquences dynamiques et nerveuses, n'offre guère d'intérêt particulier.
  • NOUS IRONS TOUS AU PARADIS (1977)
    Note : 11/20
    Légèrement moins réussi que son illustre précédent, avec les mêmes personnages, le film promet tout de même un agréable moment de divertissement sans aucune prétention d'analyse et de profondeur.
  • L'OURAGAN (1979)
    Note : 8/20
    Amours indigènes et indigestes, raz-de-marée dévastateur. Pas de quoi chavirer.
  • NOUS MAIGRIRONS ENSEMBLE (1979)
    La souhaitée et nécessaire cure d'amaigrissement d'un metteur en scène qui veut à nouveau plaire au sexe dit faible. Pas de quoi en faire un régime, un plat ou un film.
  • UN COCKTAIL EXPLOSIF (1977)
    Version assez sympathique et plutôt dynamique des "bootleggers" aux States. Le sujet manque certes d'originalité, mais le spectateur ne s'ennuie pas, alors ne boudons pas notre plaisir.
  • L'INTRUS (1976)
    Note : 5/20
    Décidément le court métrage français n'est pas à l'honneur avec cette médiocre réalisation d'un dénommé Patrick Schulmann.
  • CENDRILLON ET LA ROSE (1976)
    Note : 6/20
    Insipide au possible et d'un mortel ennui.
  • LES AVENTURES DE PINOCCHIO (1972)
    Note : 14/20
    Une parfaite réussite pour ceux qui souhaitent passer un agréable moment.
  • EN PANNE (1985)
    Note : 15/20
    Original et sympathique avec une mention particulière à l'étonnant Michel Robin.
  • MISSISSIPPI BLUES (1984)
    Emotion et vérité sous l'œil furtif des caméras de Tavernier et Parrish, pour un film sympathique et très instructif.
  • DRACULA PRISONNIER DE FRANKENSTEIN (1971)
    Mélange de deux mythes du cinéma fantastique qui donne une sauce indigeste pour le cinéphile puriste !
  • LES CENTAURES (1971)
    Ennuyeux et facile.
  • DERNIER ÉTÉ À TANGER (1986)
    Scenario sans surprises, banalité de l'histoire, acteurs dépassés par leur rôle, stéréotypes en pagaille, font de cette œuvre une évidente déception. Du cinéma bassement commercial.
  • LE CORRUPTEUR (1971)
    Note : 15/20
    Intéressant, mais ne vaut pas le chef-d'œuvre de Clayton : "Les innocents" dont il pourrait être considéré un peu comme le prologue.
  • DANS LA POUSSIERE DU SOLEIL (1970)
    Nul et non avenu.
  • LA MORT AUX ENCHERES (1982)
    Note : 10/20
    intrigue fort tarabiscotée. Un mélange abscons de psychanalyse, de fantastique, de policier qui donne à l'œuvre une tonalite d'imperfection, voire de cafouillage dont le perdant reste le spectateur dubitatif.
  • THIS IS ELVIS (1980)
    Vision sympathique d'un mythe époustouflant où se mêlent judicieusement des documents d'époque et une reconstitution fictive de certains moments importants de la vie du chanteur.
  • ALORS HEUREUX ? (1979)
    Une histoire parfaitement débile qui mêle tentative de suicide, prise d'otages à la Tour Eiffel et autres stupidités qui se veulent comiques et sarcastiques.
  • LA BAIE AUX EMERAUDES (1964)
    Fade et insignifiant.
  • LA BONNE SOUPE (1963)
    Bof !
  • SALE TEMPS (1987)
    Note : 12/20
    Villeret est égal a lui-même et la réalisation fort correcte.
  • LA SECTE DES MORTS-VIVANTS (1976)
    Nos braves et sublimes Peter Cushing et Donald Pleasance ont du s'égarer ce jour-là, dans un trop plein d'ouzo.
  • LES SEPT JOURS DE JANVIER (1979)
    Pathétique et solide dans une dénonciation rigoureuse et intransigeante.
  • SEXTETTE (1978)
    Un navet stupide et antédiluvien qui ne mérite que fuite et oubli à cause de son navrant scénario.
  • GHOULIES (1984)
    Note : 7/20
    Un film qui ne craint pas le ridicule dans sa béante médiocrité et son horreur ridicule.
  • LULU (1980)
    Une autre version du film de Pabst : "Loulou". Totalement raté et médiocre à souhait.
  • NOCES DE SANG (1978)
    Une version marocaine librement adaptée de la célèbre pièce de Federico Garcia Lorca, qui dans l'ensemble inspire sympathie, intérêt et bienvenue.
  • FRANKENSTEIN JUNIOR (1974)
    Note : 12/20
    Une comédie pastiche sur le célèbre mythe de Frankenstein avec de suaves et pertinentes références à bien des oeuvres du répertoire fantastique qui feront le bonheur des cinéphiles.
  • MON DIEU COMMENT SUIS-JE TOMBEE SI BAS (1974)
    Quiproquos et farces garantis pour une situation finalement guère drôle.
  • MARINE BLUES (1986)
    Note : 6/20
    Philippe Leotard en gardien de phare, nostalgique et sentencieux... pas de quoi chavirer, ni de perdre le Nord.
  • LE JAPON INSOLITE (1981)
    Film documentaire hétéroclite et touffu qui tente de donner une image pluraliste du Japon et de ses habitants. Jouant sur l'esthétisme et des plans de montage historiques, Reichenbach tente de percer l'âme nippone à travers l'influence du féodalisme et de la religion. Cela se regarde, bien sûr avec intérêt, malgré un commentaire en voix off souvent orienté et une absence déplorable d'approches économiques réelles.