Critique(s)/Commentaire(s) de JPC

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  • UNE FEMME DE TÊTE (1957)
    Merci d'avoir rajouté à la base ce film mineur, mais savoureux qui permet, une fois de plus, de savourer sans modération la complicité du couple Tracy-Hepburn... les chats et l'eau comme toujours... A remarquer, le nom du personnage de Tracy, "Sumner", qui en vieil anglais veut dire "huissier"... celui qui signifie les saisies, les expulsions... Si les ordinateurs ont évolué, ils font toujours aussi peur aux employés.
  • SAUVEZ WILLY (1993)
    Je garde un merveilleux souvenir de ce film, pas pour les raisons qu'on croit. Je revenais en avion d'une mission difficile, et me suis livré avec mon assistant à un jeu stupide et rigolo : regarder un film inconnu SANS mettre le casque et improviser les dialogues. Au bout d'un quart d'heure, toutes les hôtesses du 747 faisaient le cercle autour de nous (très jolies ...) le pompon a été décroché lorsque Willy sauve le gosse de la noyade et le repose sur le bord... et que mon adjoint a commente : "tu vois, maintenant, il souffle dessus pour le sécher" Mais quel navet !!!!!!
  • OLD EXPLORERS (1990)
    L'idée de départ est géniale, et les transitions entre les rêves et la réalité de ces deux vieux fous (ces deux éternels enfants ?) bien ménagées, mais la fin, largement prévisible, est traitée avec la délicatesse de l'hippopotame faisant des pointes sur les nénuphars. Dommage, d'autant que les acteurs s'en donnent visiblement à cœur joie...
  • VOL D'ENFER (1984)
    L'histoire originale, très forte, mettait en scène un aviateur déchu et une enfant. Et c'était une belle histoire de rédemption. Croyait-on faire vendre mieux en y remplaçant l'enfant par une pin-up hargneuse ? Lisez le livre, il vaut le voyage.
  • OUTLAND (1981)
    "La navette sifflera 3 fois"... Et alors ? Cette forme d'hommage-transposition ne manque pas d'un certain charme jubilatoire, tout comme lorsque Walter/Wendy Carlos jouait les Brandebourgeois de Bach aux synthétiseurs Moog... Et la "planète interdite" est bien, somme toute, de l'excellent Shakespeare, quoique plus rétro que l'original... Ne boudons pas ce plaisir surtout quand il porte les couleurs de Sean Connery... (le toubib aussi vaut son pesant de minerai...).
  • JUMPIN'JACK FLASH (1986)
    La parodie est un art difficile ; ici, la réussite est totale : rythme d'enfer, gags saugrenus, accessoires délirants (de la poêle à frire aux pieds-pluches), moments de vraie-fausse angoisse (la photo sur la porte), plus les hurlements de Whoopi (et elle y va de bon coeur), on dirait Funeral in Berlin revu par les Marx Brs. Aucune vraisemblance, mais quelle joie, ... et quel punch !
  • LA RIVIERE SANS RETOUR (1954)
    Comme Bourvil dans le "Cercle Rouge", comme Galabru dans le "Juge et l'assassin" : Marilyn a eu la un rôle différent, un rare rôle à sa mesure, et qui nous fait regretter tous ceux que l'on n'a pas su proposer à celle qui avait été classée définitivement : "ravissante idiote". Snifff... P.S. : Soyons honnête : Mitchum aussi y est parfait ....
  • CACHE CASH (1993)
    1) Prenez "Le grand chemin". 2) Rajoutez un casse au milieu 3) Enchaînez avec la fuite des enfants de "I love You je t'aime" 4) N'ayez JAMAIS peur d'en rajouter 5) Surtout jetez directement sans le regarder. Seule image qui rachète ce rave (je prends rave au sens de légume, pas de danse) : le sanglier buvant 1,5l de Coca d'un coup... Manquerait plus que Bardot...