Pas d'accord avec Olga... D'abord, il faudrait connaître ce film ne serait-ce que pour sa musique, ce bouleversant canon sans cesse ascendant, géniale idée de Jarre pour figurer l'échelle. Et puis pour Tim Robbins et Elizabeth Pena, tellement vrais ; et puis pour ce jeu de miroirs, cette stratification du réel. Non, Olga, cela n'a rien à voir avec un film engagé : le problème n'était pas là. Mais quel beau et rare film fantastique, quasi mathésonien dans la bascule de l'ordinaire.