Le Papet est de retour, et Netchaiev aussi, paraît-il. Eh bien, ils auraient pu s'en passer : certaines retraites devraient être consacrées à un repos bien mérité. Sans quoi, on bande mou et poussif, n'est-ce-pas, monsieur Deray ? Ne parlons (parce qu'on l'aime trop bien pour lui dire des méchancetés) de Vincent Lindon, qui visiblement n'avait rien à faire dans cette galère où seule Mireille Perier vient apporter un peu de fraîcheur et de baume au coeur des amateurs de bon cinéma.