Henry Miller est assurément un sujet difficile à traiter. Il y a quelques mois, Chabrol s'y cassait les dons (si, si ! ), maintenant, c'est au tour de Philip Kaufman. Adapter Anaïs Nin et Henry Miller a trouvé Kaufman en moins heureuse inspiration que pour "L'insoutenable légèreté." Il y a certes un très beau travail esthétique(directement inspiré des cinémas français et allemand des années 3O) ainsi que deux très belles et fascinantes actrices, mais l'épisode reste artificiel et n'échappe pas aux lieux communs. Une petite déception.