Le seul mérite du film est d'avoir révélé la sensualité de Catherine Rouvel, parfaite dans son rôle de fraiche beauté pas encore abîmée par le cinéma. Le reste est à l'avenant : personnages fantoches (même Paul Meurisse n'est pas crédible), situations vaudevillesques à la limite du graveleux. Et pourtant, il y avait une vraie photogénie du cadre (rappelant les peintures d'Auguste Renoir), gâchés par le discours approximatif du réalisateur. Dommage.