Critique de
Maxime
Avec des moyens modestes, Kaneto Shindō réussi un film très original, beau et rythmé. Les dernières minutes sont d'une tension rare et tiendront en haleine les spectateurs les plus habitués aux films d'épouvante, tandis le vent dans les joncs continuera de rythmer leurs rêves. Le cinéma japonais des années 1960 est vraiment riche en chefs-d'œuvre singuliers, tels 'La Femme des sables' et 'Kwaidan' pour s'en tenir à cette seule année 1964.