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RETOUR VERS LE FUTUR 3E PARTIE-1989-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Back to the future part III
Durée : 1h59
Date de sortie en France : 18/07/1990
Genre : FANTASTIQUE
Themes
Voyage dans le temps
- cinéma américain -
Voitures
- cinéma américain -
Réalisation : Robert ZEMECKIS
Prise de vues : Dean CUNDEY
Musique : Alan SILVESTRI
Producteurs exécutifs : Frank MARSHALL , Steven SPIELBERG et Kathleen KENNEDY
Produit par Bob GALE et Neil CANTON
Nota
Thomas F. Wilson, Michael J. Fox et Lea Thompson interprètent chacun deux rôles différents
Distributeur : UIP
Visa d'exp. : 73857
Résumé
Cette fois-ci le brave Marty Mac Fly s'en retourne dans le passé, à l'époque du Far West, pour sauver son ami, Doc Brown, savant excentrique, coincé par un accident de sa voiture révolutionnaire qui leur a permis de voyager dans le temps. Marty affronte "Mad Dog" Buford, un dangereux tueur qui doit occire son ami le professeur, tombé amoureux d'une séduisante institutrice.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 9/20
Moins sympathique que le second épisode de la série, un film plein de références cinéphiliques. Finalement plutôt anecdotique et même parfois lassant.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
inconnu(e)
3eme épisode et heureusement le dernier à ce que nous disent Spielberg et son sbire de Zemeckis, en effet cette fois-ci l'usure finit par apparaitre un peu trop et on sent bien que le tandem n'a fait la qu'un simple film de commande... Même les effets spéciaux ne sont plus au rendez-vous ! Dans les 80000 entrées à Paris pour chuter à 45000 en 2eme semaine, il a fallu un bien mauvais bouche à oreille! Malgré l'humour encore un peu (un tout petit peu) présent dans ce dernier chapitre, il faut reconnaitre que la seule raison d'exister de ce film était l'appel du box-office !
Toujours spectaculaire et entraînant, ce troisième épisode de la grande saga de Zemeckis la clôt cependant en eau de boudin, et c'est bien dommage, car le second épisode (le meilleur des trois, car le plus scénaristiquement délirant) promettait une suite en crescendo. Mais cette fois, les scénaristes se sont perdus dans la surenchère romanesque, noyant l'épopée dans une eau de rose naïve et moralisatrice. Heureusement que leur humour auto-parodique maintient l'entreprise à flot. Les limites du film sont aussi les limites du "système" américain.
Bibliographie