Critique de
                                                 
                                                    D.W. GRAPHITE                                                            
                                                                                                                                            
                                                                                        
                                                Attention, l'ère des coproductions internationales tous azimuts   commence ! En voici une, américano-anglo-yougoslave, qui permet peut  être l'existence même de son objet,  mais qui aussi le gâche en partie. Expliquons-nous : le film de Rajko Grlic est délicat et beau, lyrique comme sait si bien l'être le cinéma yougoslave, où se fondent les sensibilités méditerranéenne et slave. Mais la langue anglaise, et malgré la belle prestation des acteurs, est par trop incongrue et nous ramène constamment dans le hors-champ de la production. Dommage !