Aucun résultat pour cette recherche
L'ETE DES ROSES BLANCHES-1989-
Nationalités : Yougoslavie / Grande-Bretagne
Titre VO : Djavolji raj
Autre-Titre VO : That summer of white roses
Durée : 1h40
Date de sortie en France : 13/06/1990
Genre : DRAME
Theme
Deuxième Guerre Mondiale
- cinéma français -
Distributeur : Diaphana
Résumé
Dans un petit village yougoslave, milieu de l'année 1945, peu de temps avant la débâcle allemande. Andrija Gavrilovic, affecté comme maître-nageur sur une petite plage bordant un immense marécage (sa candeur et sa simplicité d'esprit lui ont évité d'être incorporé dans l'armée) voit sa bucolique existence basculer dramatiquement, à partir du moment où il prend sous sa protection une jeune femme juive et son garçon, en fuite, et qu'il sauve de la noyade, le commandant en chef teuton de la région.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 16/20
Oeuvre émouvante et délicate avec un Tom Conti éblouissant et un Rod Steiger imposant de métier. En effet, lorsqu'on parvient à susciter l'émotion avec ce brin de désespoir, de tendresse et d'inévitable fatalité, sans jamais verser dans le mélodramatique où le démonstratif connoté à la performance d'acteur (cf. "Rain man") quand on associe intuitivement et adroitement le destin individuel avec les éléments naturels voire "fantastiques" (l'eau, le silure géant, le "démon des eaux") sans déstabiliser une réalité concrète (la guerre) avec autant de simplicité et d'évidence et que l'on arrive à faire vivre ses acteurs, cette totale osmose entre les événements et leurs protagonistes, on se retrouve devant une oeuvre de grande qualité.
Ajouter Votre
Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
Attention, l'ère des coproductions internationales tous azimuts commence ! En voici une, américano-anglo-yougoslave, qui permet peut être l'existence même de son objet, mais qui aussi le gâche en partie. Expliquons-nous : le film de Rajko Grlic est délicat et beau, lyrique comme sait si bien l'être le cinéma yougoslave, où se fondent les sensibilités méditerranéenne et slave. Mais la langue anglaise, et malgré la belle prestation des acteurs, est par trop incongrue et nous ramène constamment dans le hors-champ de la production. Dommage !