Guillermou maîtrise parfaitement le crescendo dans la nullité. En fin, s'il maîtrise la moindre chose dans ce film, qu'il ose qualifier "d'hommage à Jean-Sébastien Bach". Casting (vous imaginez le rugbyman Charvet en contrebassiste ? ), "direction" d'acteurs, décor, éclairages, prises de vues, montage. C'est un calamiteux désastre à tous les niveaux. Et à commencer par le scénario, un des plus débiles de l'histoire du cinéma. Que des films de la sorte trouvent producteur et même distributeur est tout simplement un scandale.