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WILLOW-1988-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Willow
Durée : 2h05
Date de sortie en France : 14/12/1988
Réalisation : Ron HOWARD
Prise de vues : Adrian BIDDLE
Musique : James HORNER
Produit par Nigel WOOLL
Producteur exécutif : George LUCAS
Distributeur : UIP
Visa d'exp. : 68324
Résumé
Sur le monde, règne la terrible et méchante reine Bavmorda qui sème terreur et malheur autour d'elle. Une prophétie dit que la petite Elora, nouvellement née dans le donjon du château de Nockmaar, doit chasser l'infâme créature maléfique. Mais la sage-femme a placé le couffin de l'enfant sur la rivière ou vivent les terribles chiens de la mort. Heureusement le panier échoue chez les gentils Nelwyns, des nains pacifiques, dont l'un d'eux, Willow va s'occuper du destin de l'enfant sacré.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 13/20
Entre féerie et rêve, c'est plutôt sympathique !
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
inconnu(e)
Une première chose : le film est bien fait et l'on ne s'ennuie pas pendant les deux heures qu'il dure. Maintenant que le positif a été dit, passons à autre chose. L'innovation du film, ce sont les acteurs : un village entier de nains. Encore peut-on soupçonner l'auteur d'avoir vu "Creepshow". L'histoire du film est "bateau", méli-mélo de clichés et emprunts dans tous les contes de fées de notre enfance où les sorcières, princesses, magiciens, princes charmants justiciers se bousculent. Les monstres eux, ne sont pas sans rappeler "La guerre des étoiles" et autres modèles du genre. Rien de transcendant, mais les enfants adoreront.
Voilà un film qu'on a du mal à classer... Cà commence très méchamment avec une affreuse reine digne de Blanche-Neige. Puis, fuite du bébé grâce à un stratagème d'une originalité biblique. Atterrissage enfin dans un village de nabots paysans. Jusque là, Ron Howard ne nous impressionne guère. Alors, les cavaliers surgissent avec à leur tête un George Lucas bien déterminé à reprendre les choses en main... Aussitôt, un souffle épique balaye les mièvreries du scénario et on a droit à un grand moment d'héroïsme, de magie et de rire sur de magnifiques décors et une musique un peu trop prétentieuse cependant. On peut regretter un certain manque d'imagination : le héros a un style tout a fait tolkiennien, les trolls ont été pêchés à la hâte dans "2001" et la fin est trop subite. Faites donc comme moi : prenez place dix minutes après le début du film.
Bibliographie