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LE CERCLE DES POETES DISPARUS-1989-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Dead poets society
Durée : 2h09
Date de sortie en France : 17/01/1990
Themes
Adolescence
- cinéma américain -
Suicide
- cinéma américain -
Milieu scolaire
- cinéma américain -
Réalisation : Peter WEIR
Scénario : Tom SCHULMAN
Prise de vues : John SEALE
Musique : Maurice JARRE
Distributeur : Warner Bros
Visa d'exp. : 71155
Résumé
John Keating est professeur de littérature dans l'austère Académy Welton, une réputée institution américaine qui a pour but d'apprendre et d'inculquer aux futurs cadres de la nation, les us et coutumes de leur fonction et de leur rang. Mais le sympathique enseignant est loin des normes académiques de l'école et choisit plutôt de faire connaître à ses élèves le goût de la vraie poésie, pour lui, corollaire d'une existence libérée de toutes fausses contraintes sociales et morales.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 13/20
Oeuvre commerciale parfaitement réussie entre émotion et dénonciation qui consacre Robin Williams comme acteur de premier plan.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
inconnu(e)
Superbe film très prenant: triste et émouvant à la fois et qui dénonce bien le traditionnalisme des familles américaines de l'époque. Emotion garantie: impossible de ne pas lacher une larme lorsque Neil se suicide.
inconnu(e)
C'est incontestablement un film "prenant"... pour les adolescents. En réalité, c'est surtout un film de propagande, qui vise à saper les fondements d'une éducation saine, mais trop nationale pour ce réalisateur cosmopolite qu'est Peter Weir.
inconnu(e)
J'ai trouvé ce film merveilleux , les phrases et dialogues sont morales et donnent à réflechir. Le film est très bien joué (surtout Ethan Hawke qui est très mignon). Je connais ce film par coeur, c'est vraiment le plus beau film que j'ai jamais vu ..... UNE POETE DISPARUE.
inconnu(e)
A voir et surtout à revoir. On ne peut se lasser d'une oeuvre aussi complète intellectuellement. C'est de loin, le meilleur film que je n'ai jamais vu ..... En particulier, j'ai adoré Robert Sean Leonard et Robin Williams; ce sont mes acteurs préférés; je les admire réellement et je leur souhaite tout ce dont ils rêvent ...... Encore une fois, toutes mes félicitations, à toute l'équipe qui a participé à cette oeuvre ..... NADIA SOKAMBI le 22.04.92.
inconnu(e)
Ce film est superbe, vraiment superbe. Un prof luttant pour libérer les esprits et les inciter à penser par eux-mêmes, tout en les remplissant de bon sens, n'est-ce pas là, le vrai enseignement ? Moi je pense que si ! Robin Williams (John Keating) a non seulement envoûté les acteurs (élèves) avec ses belles paroles mais il m'a également envoûtée. Pour moi ce film est, était et restera le plus beau film que j'ai jamais vu ...... Le film, les acteurs, l'histoire, tout est très bien dans ce film, vraiment tout. Carpe diem. (une passionnée du « Cercle des poètes disparus »).
inconnu(e)
Le cinéma est vraiment le 7 art. Le cercle est le film le plus émouvant de la décennie et pour moi, il mérite de faire partie du top ten du siècle! Ce film est grandiose, beau, fascinant! La beauté des images! La puissance des mots!CARPE DIEM.
inconnu(e)
J'ai vu ce chef-d'œuvre 4 fois. C'est bouleversant de voir que le cinéma a un tel pouvoir sur l'être humain. Je l'ai vu une fois en v.o. et malgré mon anglais assez médiocre, l'expérience en vaut la peine: à tous ceux qui ont craqué pour ce film, je conseille qu'ils le voient en vo, ça apporte beaucoup, déjà parce qu'on y entend la vraie voix des acteurs -même si le doublage était très bien, c'est mieux- mais aussi, les réactions de la classe sont assez différentes. Ainsi pour l'amour du cinéma, revoyez cette merveille ! NEIL.(PERRY ,OF COURSE!)
inconnu(e)
Après avoir entendu parler de ce film sur un ton plus qu'élogieux comme aucun autre avant, je finis par aller voir ce film qui ne pouvait que me décevoir. Je préfère une illustration bien menée qu'un discours pompeux et commun sur le vieux thème autorité-liberté, ordre-spontanéité. D'une qualité plastique indiscutable, "le cercle des poètes" met met en scène la camaraderie adolescente, ce droit au rêve que leur "impose" leur nouveau professeur de littérature anglaise. Ces adolescents oublient cependant un instant que ce monde du rêve leur est placé dans le cadre de la poésie, non du réalisme. Comment s'échapper du conformisme général et de l'insipide quotidien. Il est bon qu'un public sache encore se déplacer pour des idées -si tant est qu'il ne regarde pas ce film au premier degré- Et faut-il vraiment mourir si l'on refuse la frontière avec le réalisme, même si le conformisme et la grisaille qui étouffent la poésie sont pour le moins inacceptables ........ BRIGITTE SANS PASSION
América ! América ! Dans le milieu austère de la culture anglo-saxonne, apparaît un professeur adepte de philosophie latine du "carpe-diem" ....... Il provoque par son enseignement une quasi révolution sur le campus où vont s'affronter les idéologies des anciens professeurs et des parents adeptes de la vie monacale et celle de la "new-génération". Film typiquement américain, conflit du bon et des méchants. Se remettont-ils un jour, les Ricains, de leur philosophie western ? On en sort comme d'habitude avec une fringale de nuance et de subtilité.
inconnu(e)
Moi aussi, me suis laissée prendre à ce film très réussi par son contenu, humour, suspens, une pointe de policier, de l'amour, de bons acteurs, bref, tout ce qui fait qu'un film entre dans l'histoire.
signature non-référencée
J'ai trouvé ce film sublime!!!! Je suis allée le voir deux fois et il m'a toujours séduit... il est émouvant, très impressionnant, très bien joué ... bref il est génial!! Et je crois bien que j'y retournerai une 3eme fois. Bravo au metteur en scène, à Robin Williams, à Ethan Hawke (il est très mignon)..Et aux autres... KATY.
Thoreau, Whitman, Frost, Keats, leurs poèmes (superbes) servent d'aliment au petit groupe de jeunes du film, mais aussi au film lui même. Et l'aliment poétique est un puissant fortifiant. On ne fera pas au "Cercle" le reproche de l'académisme. Car on n'aura pas l'esprit à le faire, tellement est prenant ce vibrant hommage à l'homme, à sa liberté et à la force de son imagination. Le romantique (au sens littéraire, philosophique du terme) en nous exultera au renfort revigorant de ce film magnifique splendidement interprété.
inconnu(e)
Formidable. Très émouvant, bonne interprétation super satire du conformisme et dénonciation de certains principes de certaines "familles".
signature non-référencée
Et ce suicide...encore une facilité! A l'instar de leurs ainés soixante-huitards, les "yupies" de 1990 écraseront une larme de circonstance, sans démordre toutefois de leur conviction, qu'en matière de poésie, une rime riche se termine forcement en « dollar ». DUNSANY .
inconnu(e)
Je me suis laissé prendre à ce film et je m'en agace un peu. La puissance de séduction des mélos. Le drame, c'est quand les ficelles deviennent des cordes, qu'à force de bonnes intentions le message se noie dans les facilités du manichéisme, dans l'abus de poncifs. Weir a misé sur la carte de l'identification : des méchants odieux sans nuance, un prof à l'aura messianique, une jeunesse immédiatement réceptrice à la grâce alors que rien ne l'y prédispose. Et le martyr puisqu'il en faut en. Très beau bien sûr! On regrette la folie iconoclaste d'un "If" ou la sensibilité délicate d'un "Maurice" le sujet exigeait plus de nuances, une «étude psychologique plus fouillée des drames intérieurs.
Bibliographie