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3615 CODE PERE NOEL-1989-
Récompenses
- Meilleurs film, réalisateur et jeune comédien au Festival de Rome 1990 .....
Distributeur : Deal
Visa d'exp. : 68741
Résumé
Un jeune garçon de neuf ans, Thomas, féru d'informatique et de personnages héroïques, se retrouve seul, le soir de Noël avec son papy et son chien. En effet, sa mère, directrice d'un important consortium de vente de jouets est légèrement retenue par son travail. C'est alors que fait irruption dans le superbe manoir familial, un simple d'esprit, tueur psychopathe, déguisé en Père Noël et voulant se venger sur le gamin, de son renvoi par la mère qui l'avait engagé pour les fêtes.
Critiques et Commentaires
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 5/20
Scénario intéressant, totalement bâclé par une mise en scène à l'esbroufe.
Critiques - Commentaires Public
3385
signature non-référencée
Le thème de l'assassin qui traque sa victime dans une maison pleine de recoins n'est pas très original le fait qu'il soit déguisé en Père Noel et que la victime soit un enfant l'est plus. Mais pour nous dire que l'enfance doit se séparer de certains rêves, il y avait sans doute d'autres moyens. Mais si ce film doit avoir une originalité c'est sans doute dans sa forme. Celle d'un thriller psychologique filmé comme un clip, avec une mise en "forme" nerveuse et une musique présente en permanence. L'approche est originale mais sans plus. Un film qui ne restera sans doute pas dans les mémoires. (JEAN HARLOW).
3383
signature non-référencée
"3615 code Père Noel" repose uniquement sur des effets sonores et visuels, mais sur aucun scénario solide. A peine un film fantastique, ce serait plutôt un film d'horreur pour enfants, un film d'apprentissage du film d'horreur. JEAN-PIERRE DE MULHOUSE.
3382
Pour ceux qui croient encore au Père Noël, ce film est un rude coup au moral. Moins un film fantastique pur et dur (dont il use néanmoins des effets), le film de René Manzor est une fable sur la perte de ses croyances d'enfant. Une fable aussi autour de la corruption de l'imaginaire des enfants (et, partant, de ceux qui les entourent : nous ! ) Finis le merveilleux et l'esprit chevaleresque, voici venue l'ère de la destruction pure et simple, et de la destruction infernale. Dommage seulement que Manzor pèche par trop de références directes (même parodiques).
3386
A la fin du film, le sentiment qui reste est celui de se réveiller d'un cauchemar malsain : déçu en soi, ce qui reste de l'enfant, d'avoir eu une vision si macabre du Père Noël; puis révolté, l'adulte devant certaines aberrations. Violence poétique qui laisse un goût amer. Relents de décousu et d'inachevé. Les mouvements de caméra, étourdissants et bien léchés contribuent à cette ambiance ..... Avis aux amateurs de l'ambivalence : ni bon ni mauvais ...