Des nuages de vapeurs crispent des visages sacrifiés, exécutant des taches répétitives, sécurisant la continuité d’un jardin à ciel ouvert où des nantis méprisent d'interminables transpirations souterraines par des jeux égoïstes et insouciants. Les superficies des bureaux sont à la démesure de la démence des dominants, les baies larges et ensoleillées transfigurent le regard d’un concepteur devant la vision d'une réussite urbaine démesurée s'étendant à perte de vue.Les sous-sols explorés dévoilent des ressources exténuées, endoctrinées par des prestations dérisoires, masquant la définition d’un réel besoin communautaire.Dans ces bas fonds, ce n’est que servilité envers une machine ne mentionnant même pas à quoi elle sert.Trimer devient simplement par le sacrifice d’exclus, la sauvegarde en surface d’ébats sulfureux, de courses viriles et de captures amoureuses.Un clair obscur Darwinien à l’échelle humaine, fortement implanté dans deux concepts acquis à leurs procédures respectives, la dominance et la soumission.Comment ne pas se rapprocher en regardant ces images d’un temps douloureux encore endormi où ces maquettes futuristes annoncent l’arrivée d’un Speer alimentant dans une architecture spatio colossale les délires d'un dictateur.A l'inverse ou en parallèle, les masses colossales, froides et informes de ces blocs ne masquent nullement une récupération socialiste dont le gigantisme s'avère correctement reproduit.Ceci positionnant "Metropolis" comme une œuvre absolue au service de toutes les idéologies.Fritz Lang fut courtisé par les nazis, il préféra la fuite, en argumentant sur l'éclosion d'un troisième parti équilibrant deux extrêmes, Un esthétisme d’images, certes démentiel mais uniquement au service de l’expressionnisme.Concluons sur les propos du maître."Métropolis est un excellent film de science-fiction, rien de plus.".