Dans une suite de la « trilogie prolétarienne », Kaurismäki retrouve son fidèle chef opérateur (Timo Salminen) pour peindre les nuits d'Helsinki.
Un bijou d'épure qui voit la rencontre de deux âmes en peine, dans une nouvelle chronique de la solitude aux accents chaplinesques.
Source : Matériel de presse