"Je voulais faire ce film, depuis les années 1960", dit Aleksandr Sokourov ; depuis les impressions très vives, nées de la vision du film de Mikhail Romm "Le fascisme ordinaire.” Mais plutôt qu’un film politique, il s’agit d’un film musical d'une suite de documents remis en mouvement et accompagnés par Bach, Penderecki et Cherubini.
Source : Matériel de presse