On a beau décortiquer les 155 minutes de ce déballage inepte et prétentieux pour tenter d'y trouver un quelconque intérêt cinématographique. Le petit Lars, englué dans une tenace misogynie, continue à bégayer ses pseudo-vérités historiques et psychologiques, toujours constipé par sa vanité et sa viduité qui semblent désormais constituer sa marque de fabrique, son label créatif, son maladif caca nerveux.