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THE HOUSE THAT JACK BUILT-2018-
Nationalités : Allemagne / Danemark / France / Suède
Titre VO : The house that Jack built
Durée : 2h35
Date de sortie en France : 17/10/2018
Genre : HORREUR
Réalisation : Lars VON TRIER
Scénario : Lars VON TRIER
D'après une histoire de Jenle HALLUND
Distributeur : Les Films du Losange
Visa d'exp. : 145672
Résumé
Accompagné par un docte personnage dans un labyrinthique cheminement vers les flammes de l'enfer, le dénommé Jack se complait à narrer à son impassible et débonnaire guide, les principales cinq étapes de son existence qui l'ont mené à devenir un esthète du crime, une sorte de psycho-killer parfait et méticuleux dans l'art d'occire et de se servir de ses cadavres pour une perfection architecturale unique et radicale. Sa première victime est une intarissable créature dotée d'une maladive incontinence verbale, tombée en panne de voiture et qu'un cric défectueux en pleine tronche fera taire à tout jamais. Puis se sera le tour d'une vieille rombière en veuvage, dans sa maison, trop intéressée par le doublement de son assurance décès que lui propose habilement son futur meurtrier étrangleur. S'en suivent plusieurs autres exécutions, apparemment d'une importance secondaire, puis, pour son troisième fait de gloire, l'élimination d'une mère de famille et de ses deux mômes, lors d'une mémorable partie de chasse éducative et sanglante. Pour pimenter un peu sa folie massacrante, il envoie régulièrement quelques photos de ses cadavres qu'il conserve jalousement dans une chambre froide, à un journal local sous le pseudonyme de Monsieur Sophistication. Quatrième étape importante de cette saga criminelle, une jeune femme avec laquelle il avait ébauché une pseudo relation affective et pour sa dernière phobie assassine, l'envie de tuer cinq personnes idéalement alignées avec une seule balle blindée. Et c'est après une soixantaine de victimes égrainées sur une douzaine d'années, que la maison de Jack est enfin achevée pour un incandescent séjour éternel.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 9/20
On a beau décortiquer les 155 minutes de ce déballage inepte et prétentieux pour tenter d'y trouver un quelconque intérêt cinématographique. Le petit Lars, englué dans une tenace misogynie, continue à bégayer ses pseudo-vérités historiques et psychologiques, toujours constipé par sa vanité et sa viduité qui semblent désormais constituer sa marque de fabrique, son label créatif, son maladif caca nerveux.
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Bibliographie