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ANGOISSE-1986-
Nationalité : Espagne
Titre VO : Angustia
Durée : 1h29
Date de sortie en France : 19/04/1989
Genre : FANTASTIQUE
Themes
Voyeurisme
- cinéma espagnol -
Tueurs psychopathes
- cinéma espagnol -
Réalisation : Bigas LUNA
Scénario : Bigas LUNA
Prise de vues : José Maria CIVIT
Musique : José Manuel PAGAN
Produit par Pepon COROMINA
Récompenses
Prix de la critique, prix du public, prix du scénario Festival du Rex 1988
Nota
Avec un extrait du film d'Irwin Allen : "Le monde perdu" .....
Distributeur : Plaichant
Visa d'exp. : 69046
Résumé
Le dénommé John, être pataud, dominé par une mère hyper-étouffante, va se venger de l'humiliation et d'un début de cécité, en tuant des spectateurs anonymes dans une salle de cinéma, sous l'emprise de forces hypnotiques. En fait, nous assistons à un film. Dans la salle à demi-pleine, deux adolescentes frissonnent. L'une d'elles croit qu'un maniaque meurtrier se cache dans l'obscurité.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 16/20
Film dans le film, dans le film. Une somptueuse pochade à la mémoire et à la gloire du cinéma, qui mérite d'enthousiasmantes recommandations.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
inconnu(e)
Primé à Avoriaz, encensé par la critique et Cinéfiches, à première vue, le film promet et on s'attend à manger la mousse de son fauteuil. La vedette : un meurtrier aliéné par sa maman à coup d'hypnose et de chantage affectif. Le décor : une salle de cinéma projetant un film fantastique. L'action : la vedette s'introduit dans le cinéma et rajoute ainsi un film dans le film que nous regardons. Mon avis : quelques images psychédéliques et oniriques parfois. Pas le moindre frisson d'angoisse. C'est creux, c'est dommage. Le sujet était pourtant alléchant .
Une fois de plus (après Almodovar), l'originalité et le culot viennent d'Espagne. "Angoisse" en est une illustration particulièrement recommandable : une film "d'horreur" peu conventionnel et très ingénieux. Nous ne sommes pas ici devant UN, mais bien devant DEUX films, défilant en parallèle, et dont le second reprend la situation du spectateur même. Un jeu constant, malicieux et diabolique, entre l'écran et la salle. Savoureux !
Bibliographie