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HARMONIUM-2016-
Nationalité : Japon
Titre VO : Fuchi ni tatsu
Durée : 2h00
Date de sortie en France : 11/01/2017
Genre : DRAME
Themes
Pêche et pêcheurs
- cinéma japonais -
Photos et photographes
- cinéma japonais -
Rêves et cauchemars
- cinéma japonais -
Handicapés moteurs
- cinéma japonais -
Suicide
- cinéma japonais -
Réalisation : Koji FUKADA
Scénario : Koji FUKADA
Prise de vues : Kenichi NEGISHI
Musique : Hiroyuki ONOGAWA
Distributeur : Condor Distribution
Visa d'exp. : 144311
Résumé
Une demeure japonaise ordinaire, dans une paisible banlieue nippone, avec un chef de famille, Toshio, ayant créé à son domicile, une petite aciérie de précision qui emploie épisodiquement, en période de travail intensif, un apprenti ou un auxiliaire. Son épouse, Akié, une fervente protestante s'occupe de la maison et de l'éducation de leur petite fille prénommée Hotaru qui depuis quelques temps s'est initiée à l'harmonium, un instrument de musique qu'elle espère jouer pleinement à la prochaine fête de son école. Un beau matin, se présente à l'atelier un certain Yasaka, que Toshio semble connaître de longue date, qu'il engage immédiatement, lui proposant même un hébergement dans la maison familiale, au grand étonnement de son épouse qui, malgré tout, accepte cette incompréhensible célérité maritale. Une décision qui s'avère finalement bienheureuse, le nouveau venu, fort doué pour la musique, fait rapidement progresser l'apprentissage et la pratique de l'harmonium à la fillette, tout en exerçant une sourde aimantation sur la mère, étrangement attirée vers le mystérieux personnage, souvent de blanc vêtu et témoignant de troublantes affabilités. Peu à peu, nous apprenons, lors de quelques confidences épanchées à la jeune femme, que Yasaka vient en fait de sortir de prison, un enfermement conséquent au meurtre d'un quidam commis avec un complice.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 13/20
Autant la première partie du film dégage une vague et déconcertante atmosphère d'inquiétude tamisée et timorée, parfaitement rendue par le comportement ambigu des personnages, autant la seconde partie, censée se dérouler huit ans après le départ de Yasaka de l'accueillante petite famille, se révèle comme artificielle et spécieuse, avec des séquences d'une tonalité invraisemblable et dont la véracité scénaristique nous semble une discutable vue de l'esprit d'un cinéaste peinant à boucler sa dramaturgie.
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