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A BEAUTIFUL DAY-2017-
Nationalité : Grande-Bretagne
Titre VO : You were never really here
Durée : 1h25
Date de sortie en France : 08/11/2017
Genre : DRAME
Themes
Hôtels
- cinéma américain -
3e âge
- cinéma américain -
Suicide
- cinéma américain -
Taxis
- cinéma américain -
Réalisation : Lynne RAMSAY
Scénario : Lynne RAMSAY
Inspiration : D'après un roman de Jonathan AMES
Prise de vues : Thomas TOWNEND
Musique : Jonny GREENWOOD
Distributeur : SND
Résumé
Vétéran GI dans le perturbant conflit irakien et certainement ancien flic dans une unité d'intervention, Joe survit activement au profond de la jungle new-yorkaise, dans de saumâtres et violents règlements de compte, en efficace tueur à gages taciturne et secret. Couturé de moult cicatrices physiques de par ses fiévreuses activités vengeresses et tailladé de récurrentes balafres psychiques liées à une enfance familiale traumatisante, il vient de se voir proposer un nouveau contrat de récupération et d'éradication dans la haute sphère étatique de la région, en l'occurrence, retrouver la gamine du sénateur Votto qui se trouve immergée dans un discret réseau pédophile régenté par un puissant homme politique en nouvelle campagne élective gouvernementale. Dans un premier temps, il parvient relativement facilement à récupérer la jeune fille prénommée Nina, mais se retrouve de suite immergé dans un espace de violence incontrôlable avec pour victime, entre autres, sa propre mère, une énergique petite vieille à la lisière d'une extravagante sénilité. Animé d'une farouche détermination et d'une mortelle dextérité avec son arme favorite, un simple marteau d'artisan, il se lance dans une fracassante riposte effrénée et ravageuse.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 16/20
Malgré une fâcheuse propension à ponctuer des situations en suspens, d'aborder certains événements du passé seulement en pointillé et de laisser flotter l'intrigue dans une volontaire (et peut-être prétentieuse) imprécision narrative, ce quatrième long métrage de la réalisatrice mérite le détour et notre assentiment, déjà rien que pour la performance artistique de Joaquin Phoenix, fort justement primée aux ors cannois.
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Bibliographie