Critique de
D.W. GRAPHITE
Le sujet aurait pu donner un film diabolique et même joliment pervers. Rien de tout cela, hélas ! La complaisance avec laquelle l'histoire est décrite et filmée fait tout capoter. Une banalité mineure, comme le (mauvais) cinéma, en passant par Avoriaz, en produit au kilomètre.