Aucun résultat pour cette recherche
THE WITCH-2015-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : The witch
Durée : 1h32
Date de sortie en France : 15/06/2016
Genre : FANTASTIQUE
Réalisation : Robert EGGERS
Scénario : Robert EGGERS
Prise de vues : Jarin BLASCHKE
Musique : Mark KORVEN
Distributeur : Universal Pictures International France
Visa d'exp. : 144607
Résumé
Promenons-nous dans les bois / Pendant que le bouc n'y est pas...
Dans une petite communauté d'émigrés venus s'établir, en ce foisonnant 17e siècle, sur les terres vierges de la Nouvelle-Angleterre uniquement habitées par quelques rares tribus indiennes, le permanent rigorisme religieux d'une famille de colons provoque bientôt, après une compréhensible exaspération, le rejet de cette fratrie outrageusement pieuse et dévote, obligée de quitter la communauté pour aller s'établir à l'orée d'une immense forêt à la pernicieuse réputation. De fait, quelques événements dramatiques, fort incompréhensibles et d'apparence plutôt inquiétante, suscitent bien des interrogations et des questionnements. Tout d'abord, la mystérieuse disparition du benjamin de la famille, un poupon surnommé Samuel, mise sur le compte d'un loup errant, puis celle de Caleb parti en forêt avec sa grande sœur Thomasin, relever quelques pièges posés le jour précédent avec son père, afin de capturer quelques animaux, la famine guettant avec des récoltes insuffisantes et parcimonieuses. Et lorsque les jumeaux Jonas et Mercy, avec leur étrange ritournelle sur Philippe le Noir, entrent en transes, que les animaux se mettent à réagir d'une façon anormale et incohérente, que Caleb revenu, vomit une pomme, les portes de l'horreur occulte et de la possession surnaturelle semblent définitivement ouvertes pour le grand sabbat.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 13/20
Une œuvre fantastique hautement surestimée et souvent confuse dans la vaste filmographie consacrée à la sorcellerie dont le seul intérêt réside dans la discrète allégation qu'une extrême religiosité provoque inévitablement son pendant ténébreux, un dévoiement des préceptes religieux et une indirecte allégeance au mal sous toutes ses formes et toutes ses manifestations. Mieux vaut se replonger dare-dare dans l'atroce et insondable beauté dénonciatrice du chef-d'oeuvre de Benjamin Christensen.
Ajouter Votre
Critique/Commentaire