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MIDNIGHT SPECIAL-2015-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Midnight special
Durée : 1h51
Date de sortie en France : 16/03/2016
Réalisation : Jeff NICHOLS
Scénario : Jeff NICHOLS
Prise de vues : Adam STONE
Musique : David WINGO
Distributeur : Warner Bros France
Visa d'exp. : 144025
Résumé
Hermétiquement calfeutrés dans une vague chambre de motel, toutes les fenêtres occultées avec du carton épais solidement fixé aux vitres, Roy et son fils Alton, accompagnés de Lucas, un ami d'enfance du paternel, sont en permanente fuite et en constant état d'alerte, obnubilés par des poursuivants opiniâtres et disposant a priori de moyens considérables. A regarder et s'inquiéter de plus près, il s'avère que ceux qui les traquent avec constance et détermination, ont des origines et des motivations fort différentes, mais une détermination identique et unique, récupérer le gamin, âgé de huit ans, possédant quelques intrigantes particularités qui ont fait de lui le nautonier d'une secte religieuse, "le Ranch" qui a vu dans ses dons extraordinaires, une évidente incarnation de l'au-delà à qui il a été assigné une mission spéciale. D'autres "chasseurs" bien plus prosaïques et mieux équipés, allant des unités de police aux membres des services secrets et de la NSA en passant par des renforts de l'armée, talonnent, avec une évidente efficacité technologique le trio auquel s'adjoindra un peu plus tard, la mère du jeune garçon, ce dernier étant pour les militaires et le gouvernement une potentielle arme fort redoutable à l'incommensurable puissance.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 15/20
Même si de rares séquences souffrent d'un manque de cohérence et d'explicitation et que d'autres piétinent dans l'étirement et l'inutilité, l'ensemble dénote une évidente puissance scénaristique proche des meilleurs romans d'un Dean Koontz inspiré.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
inconnu(e)
C'est quand même beaucoup d'esbroufe pour pas grand chose (un monde parallèle qui ne nous "apparaît", c'est un bien grand mot, qu'à la fin). "Dark Vaseux" (Adam Driver) l'est autant que dans Star Wars VII. Faut dire qu'il n'est pas aidé par son rôle, inconsistant. Et quand Lucas affirme qu'Alton est "malade", c'est d'une incongruité telle qu'on doute du sérieux des dialoguistes... Tout de même, j'aime bien cette atmosphère de mystère au quotidien que l'on ressentait déjà dans TAKE SHELTER. La BO m'a bien accroché aussi.
Bibliographie