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THE ROVER-2014-
Nationalités : Australie / États-Unis
Titre VO : The rover
Durée : 1h43
Date de sortie en France : 04/06/2014
Genres : THRILLER / ROAD-MOVIE
Réalisation : David MICHÔD
Scénario : David MICHÔD
D'après une histoire de David MICHÔD et Joel EDGERTON
Prise de vues : Natasha BRAIER
Musique : Antony PARTOS
Distributeur : Metropolitan Filmexport
Résumé
Dans une région apocalyptique, quelque part dans l'immensité du bush australien, un quidam se fait voler son véhicule, lors d'une courte halte dans une vague gargote engoncée dans la poussière ocre du paysage, par un saumâtre trio en fuite après un casse, et dont la voiture, un cafardeux pick-up d'arrière-saison, vient de faire une minable sortie de route. Pendant ce temps, le frère d'un des malfrats, un certain Rey, gravement blessé à l'aine et apparemment abandonné par ses coéquipiers, est arrivé à s'approprier un véhicule militaire dans l'enceinte même du braquage et de parvenir, vaille que vaille, après des kilomètres d'errance, à proximité du lieu de l'accident de ses compagnons, repartis depuis une bonne poignée d'heures. L'homme délesté de sa puissante cylindrée, qui se dit se prénommer Eric, parvenu à remettre en marche la voiture des fuyards, après s'être procuré quelques armes d'une manière expéditive, commence sa poursuite, en compagnie du blessé, qui affirme pouvoir le guider pour retrouver ses compagnons. Commence un long périple, avec un détour obligé auprès d'une femme médecin pour soigner la blessure de Rey, quelque peu perturbé mentalement, qui commence à se faire à son compagnon de route.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 15/20
Même si pour notre part, nous préférons tout de même le premier long métrage du metteur en scène, véritablement époustouflant, il ne reste pas moins que cette efficace et intrigante seconde réalisation laisse émaner bien des séductions et des contentements, dans sa façon unique de camper des personnages hors marges, d'une fulgurante ténacité quant à leur fol déterminisme et leur constante marginalité, guère éloignés d'un certain romantisme noir et suicidaire, avec malheureusement, de temps à autre, une recherche de l'effet à outrance et du propos sentencieux.
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