inconnu(e)
Fort, sans en rajouter (à part la scène des coups de fouet... encore que, il faudrait que je me documente). Le temps qui passe, qui s'arrête sur la nature superbe, sur le héros figé dans sa détresse. Un langage châtié tant chez les esclaves que chez les maîtres. Tout ça m'a parfois fait décroché du sujet principal apparent. Je m'attendais à un hyperréalisme revanchard, j'ai eu tort. C'est intéressant, il y a quelque chose... mais peut-être inabouti. Un bémol par rapport à l'intrigue autour de la lettre libératrice, vraiment mal ficelée.