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THE PURCHASE PRICE-1932-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : The purchase price
Durée : 1h08
Réalisation : William A. WELLMAN
Scénario : Robert LORD
Inspiration : D'après l'histoire "The mud lark" de Arthur STRINGER
Prise de vues : Sid HICKOX
Distributeur : Warner Bros
Résumé
Chanteuse de charme dans un cabaret de luxe new-yorkais, Joan Gordon est lasse de cette existence superficielle et de sa relation avec le détestable Eddie Fields dont elle est la maîtresse et qui exerce moult illicites et lucratifs trafics, entre autres comme bootlegger, escroc et racketteur. Courtisée par le rejeton d'une richissime famille américaine, une discrète enquête parentale sur ses fréquentations, aura l'évidente conséquence d'un rejet du fortuné prétendant. Bien décidée à remettre son existence en question, elle quitte les States pour Montréal où elle continue à passer sur scène sous le pseudonyme de Francine La Rue. Mais des sbires du malfrat découvre par hasard son pseudonyme et alerte aussitôt leur patron qui n'arrive pas à oublier sa protégée. Refusant de reprendre son ancienne vie, elle va trouver une parade pour échapper à l'obstinée recherche d'Eddie fort motivé pour la ramener dans son giron. En effet, une femme de ménage de l'hôtel où elle séjourne, lui confie, un peu gênée et fort penaude, d'avoir répondu à une annonce matrimoniale d'un vague fermier, vivant dans le grand nord canadien, mais en envoyant comme photo, non pas la sienne, mais celle de Joan, pimpante et ravissante à souhait. Cette dernière choisit de partir à la place de l'employée, finalement fort contente de l'aubaine et de la gratification reçue par sa sympathique cliente. Voilà donc notre courageuse héroïne au départ d'un long et fastidieux trajet ferroviaire pour la lointaine région d'Elks Crossing dans l'immensité et la solitude de la vaste province du North Dakota.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 13/20
Barbara Stanwyck écrase littéralement, de par son jeu scénique et sa prestation d'actrice, la performance plutôt moyenne de ses deux partenaires masculins, Lyle Talbot et George Brent, dans une oeuvre bienvenue, mais malgré tout plutôt mineure du grand William Wellman, décidément un metteur en scène de grande classe.
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