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BILITIS-1976-
Nationalité : France
Durée : 1h30
Date de sortie en France : 16/03/1977
Genre : ÉROTIQUE
Themes
Photos et photographes
- cinéma français -
Homosexualité féminine
- cinéma français -
Inspiration : D'après le roman Les chansons de Bilitis de Pierre LOUŸS
Prise de vues : Bernard DAILLENCOURT
Musique : Francis LAI
Distributeur : SNC
Visa d'exp. : 46384
Résumé
Jeune fille d'une famille fort aisée, Bilitis est pensionnaire d'une école de grand standing, réservée à une certaine élite de la société. Dans un climat aseptisé et feutré, elle rêve en ayant de coupables lectures et de profonds désirs exacerbés par la présence d'un jeune photographe qui est chargé d'immortaliser la classe. Mais les vacances approchent et Bilitis doit rejoindre un couple d'amis.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Saphisme soft et photographie fort léchée, érotisme pseudo-artistique,
pour une oeuvre magistralement ennuyeuse.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
inconnu(e)
Sans parler de la musique, à chaque fois que l'on entend le thème de ce film on ne peux que s'imaginer nos fantasmes d'adolescent. Ce film est fade, mais il a marqué l'adolescence de plusieurs gars et filles. Il faut penser que les relations devaient ressembler plus à ça qu'à du porno d'internet.
inconnu(e)
Le premier commentaire en dit long sur la nature de son auteur. En dehors de la vulgarité employée, cette simple phrase "si c'est l'érotisme, vive le porno", suffit à démontrer l'étendue de la réflexion du quidam. Et bien, oui, l'érotisme ce n'est pas le porno, de même que les oranges, c'est pas des poires. Moi, ça m'empêche pas d'aimer les deux. Dans l'érotisme, on suggère plus qu'on ne montre. Les filles n'ont pas oublié qu'elles avaient un sexe (cf la scène où Bilitis se masturbe dans l'arbre ou en espionnant Melissa), simplement, il n'est pas utile de la montrer les jambes écartées en gros plan. Le film s'ouvre sur une magnifique scène où les jeunes filles s'ébattent nues dans l'eau en comparant leurs seins et en s'échangeant quelques furtifs baisers. Effectivement, dans un film porno, elles en seraient déjà à se lécher la motte, seulement, l'auteur a voulu faire preuve d'un peu de réalisme. Si dans un film porno, la moindre apparition du facteur ou du livreur de pizza se transforme en pipe, anal, éjac facial, dans le vraie vie, ben, non, c'est pas ça. Des jeunes filles qui se baignent nues, c'est tout-à-fait possible, les voir qui d'un seul coup se doigteraient en public, c'est quand même plus rare, même dans les années 70. Pour la remarque du site, je suis d'accord avec la première partie : "Saphisme soft et photographie fort léchée, " pour moi, ce ne sont pas des défauts, mais pas avec la seconde partie : "érotisme pseudo-artistique, pour une oeuvre magistralement ennuyeuse..."Qu'est-ce qu'un érotisme "pseudo" artistique ? David Hamilton a voulu travailler l'image et la mise en scène, il flotte une ambiance de rêverie sur la plupart des scènes, ce qui s'accorde bien au thème (une adolescente qui découvre les amours saphiques). Quand à l'oeuvre "magistralement ennuyeuse", j'ai tout le film, en anglais sans sous-titre, et je ne me suis pas ennuyé un instant. Évidemment, ce n'est pas un chef-d'oeuvre, évidemment certains éléments peuvent paraître datés, mais pour qui s'intéresse au sujet, le film remplit bien son rôle, et j'ai été agréablement surpris par le jeu des acteurs, en particulier celui de la jeune Bilitis.
inconnu(e)
L'érotisme, c'est la sensualité, mon cher, et ce film n'en manque pas. Des filles qui ne font rien ? Bilitis a des relations sexuelles avec sa copine de dortoir et une femme. Mais un simple échange de regard est déjà chargé d'érotisme. Si monsieur Wickou préfère des suçages de bite, libre à lui. Mais certains réalisateurs accordent autant d'importance à l'histoire et à la qualité de la réalisation qu'au scènes explicites. Un des meilleurs films, n'en déplaisent aux critiques de ce site qui n'ont de toute façon pas l'air d'aimer tellement l'érotisme. Impuissants.
Encore heureux que j'aie vu ce "film" sur la cinq et pas au cinéma, sans ça, je me serais sans doute endormi. Pff! je suis désolé, mais l'érotisme ce n'est pas çà! L'érotisme, çà doit être torride et enflammé. Alors qu'on ne voit pas Kim Basinger complètement à poil dans "Neuf semaines 1/2", elle est cent fois plus excitante que ces nymphettes en nu intégral qui ne bougent pas, ne font rien, bref, ne semblent pas avoir découvert qu'elles ont un sexe. Merde à la fin! On croirait des cartes postales. Si l'érotisme, c'est montrer trois-quatre pétasses à poil avec la foune cachée, je dis non à l'érotisme, oui au porno!!