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POST TENEBRAS LUX-2012-
Nationalités : Mexique / France / Pays-Bas / Allemagne
Titre VO : Post tenebras lux
Durée : 1h54
Date de sortie en France : 08/05/2013
Genre : DRAME
Réalisation : Carlos REYGADAS
Scénario : Carlos REYGADAS
Prise de vues : Alexis ZABE
Distributeur : Le Pacte
Visa d'exp. : 131209
Résumé
Début du film : pendant un temps certain, une petite fille prénommée Rut gambade dans une vaste prairie détrempée parcourue par un troupeau de bovins et quelques chiens visiblement ravis de cet espace de liberté disponible. La nuit, un diable rouge rôde dans la maison de la gamine habitée par son grand frère Eleazar et ses deux parents, Natalia et Juan, venus de Mexico pour vivre à la campagne. Ce dernier donne une violente raclée à l'un des canidés, pour une raison qui restera ignorée. Un de ses anciens employés, surnommé Le Sept, lui fait part de ses problèmes d'addiction à la violence et à l'alcool, lors d'une réunion de quelques membres des Alcooliques Anonymes. Dans un avenir indéfini, Eleazar s'entraîne avec une équipe de rugby et rend visite avec sa frangine à sa grand-mère lors de son anniversaire. Retour en arrière : Natalia et Juan participe à une partouze dans un sauna. Lors d'un cambriolage opéré par Le Sept avec un acolyte, Juan est blessé par balle. Il mourra plus tard. Le diable rouge réapparaît dans la maison. Le Sept, errant dans la campagne, s'arrache la tête...
Fin du film : Eleazar adolescent, joue au rugby, quelque part en Angleterre.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 3/20
Non content de produire un scénario sans linéarité narrative ni compréhension spontanée, Carlos Reygadas s'ingénue à s'enfoncer dans quelques variations techniques injustifiées et grotesques, allant d'un filmage en format 4/3 avec une lentille spéciale, créant une spécieuse anamorphose floutée sur les personnages, qu'il complète de temps à autre, selon ses démangeaisons créatrices, de quelques déformation du son, d'une incongruité parfaite. D'une lourde complaisance, alimentée par un narcissisme omnipotent, véhiculant un symbolisme abscons et ridicule, l'ensemble ne mérite qu'un grand éclat de rire narquois, par sa dérisoire tentative de formater son film avec les discutables certitudes de la philosophie quantique.
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