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LES DERNIERS JOURS DE POMPÉI-1935-
Nationalité :
États-Unis231
Titre VO : The last days of Pompeii
Durée : 1h36
Date de sortie en France : 17/01/1936
Distribution
Distributeur : RKO
Résumé
Puissant et sympathique forgeron, le dénommé Marcus voit son existence profondément perturbée lorsqu'il se retrouve dans l'impossibilité de payer ses impôts, et que sa femme et son bébé sont gravement blessés par le conducteur d'un char. Il se résout donc à participer à des combats dans les arènes de la cité afin de payer rapidement ses dettes et soigner son épouse, enterrer son enfant. Mais il arrivera trop tard pour appointer un médecin compétent, se retrouvant veuf et sans descendance, avec désormais une névrotique envie de s'enrichir. Dès lors d'agressifs et souvent mortels combats contre d'autres gladiateurs vont s'enchaîner, avec une étonnante rage de vaincre et de survivre. Pour donner un sens à son existence, il adoptera le petit Flavius, l'enfant d'un de ses adversaires qu'il a tué lors d'un affrontement. A sa première défaite contre Murmex de Carthage, une brute épaisse, il choisit de quitter le milieu des gladiateurs et se met au service d'un richissime consul romain qui l'envoie en Libye pour ramener de futurs esclaves ou bien encore récupérer en Judée un contingent de puissants chevaux arabes, se liant avec un certain Ponce Pilate qu'il croit pouvoir influer sur le destin de son fils adoptif. Quelques années plus tard, devenu chef des arènes, il ignore que son rejeton, maintenant devenu un fringant jeune homme, aide des Chrétiens et des esclaves à fuir leur funeste destin lors de combats inégaux, dans l'enceinte du cirque. Faits prisonniers lors d'une rafle, Flavius et ses protégés ne peuvent compter sur l'influence de Marcus pour les sauver et devront à l'irruption inattendue et violente de l'Etna, la rare possibilité de fuir in extremis en bateau.
Critique
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 14/20
Même si l'ensemble transpire souvent le kitsch, les décors de studios et le carton-pâte, il faut reconnaître à la structure générale du film une réelle cohérence scénaristique doublée d'une interprétation sans faille des principaux comédiens pour aboutir au péplum de référence, certes daté, mais plaisant et conséquent.